Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu Flash CFDT du CCE Groupama Nord-Est (25 mai 2012 à Reims).
CFDT Groupama Nord-Est
vendredi 25 mai 2012
mercredi 23 mai 2012
Les réunions des adhérents CFDT (mai / juin)
Calendrier des réunions des
adhérents CFDT Groupama Nord-Est :
Pas De Calais : jeudi 24
mai
(à partir de 14 heures à Arras)
Siège régional : lundi 4
juin
(à partir de 14 heures à Reims -
local CFDT à la MDA)
Aube : mardi 5
juin
(à partir de 14 heures à Troyes)
Marne : vendredi
8
juin (de 14 h à 17h à Reims -
local
CFDT à la MDA )
Ardennes : mardi 12
juin (droit d'absence à partir de 9h (temps de trajet
depuis les agences) et
réunion à Charleville
à partir de
10h)
Nord : jeudi 14
juin (à partir de 14 heures à Lille-
salle Wattaux)
Aisne : jeudi 21
juin (à partir de 14 heures à Laon)
Pour les
réunions dans le Pas De Calais, le siège régional,
l’Aube, le Nord et
l’Aisne : 4 heures d’absence (temps de réunion + temps
de trajet). Pour la
Marne : possibilité de réunions dans les agences à la
demande des
adhérent(e)s concerné(e)s.
L’ordre du jour sera chargé, prévoir entre 2h et
2h30 de réunion
Rappel de l’accord relatif au droit syndical à
Groupama Nord-Est :
L’adhérent d’un syndicat qui s’absente de son poste
de travail pour
participer à une réunion syndicale doit
en tenir informé sa hiérarchie au plus tard l’avant veille (…).
Code horoquartz : JDP (jours divers
payés) Ne pas faire
figurer de message
sur la justification
de l'absence.
CE européen (Paris, 15 mai 2012)
Diffusion aux adhérents CFDT du compte
rendu CFDT du CE Européen Groupama / Gan du 15 mai 2012
mardi 15 mai 2012
Réunion DRH / Syndicats à GNE (15/05/12)
Diffusion aux adhérents CFDT
- du compte rendu CFDT de la réunion DRH / Syndicats Groupama Nord-Est,
- du projet de fonctionnement des IRP (instances représentatives du personnel) adressé avant la réunion,
- du projet de protocole pré électoral 2013 adressé avant la réunion,
- de la note applicative de l'Udsg relative à l'avenant portant révision de l'article 43-2 de l'accord national Groupama,
- de la note applicative de l'Udsg relative à l'avenant portant révision de l'article 30 et des article 43-1 et 45.
- du compte rendu CFDT de la réunion DRH / Syndicats Groupama Nord-Est,
- du projet de fonctionnement des IRP (instances représentatives du personnel) adressé avant la réunion,
- du projet de protocole pré électoral 2013 adressé avant la réunion,
- de la note applicative de l'Udsg relative à l'avenant portant révision de l'article 43-2 de l'accord national Groupama,
- de la note applicative de l'Udsg relative à l'avenant portant révision de l'article 30 et des article 43-1 et 45.
lundi 14 mai 2012
Comité de groupe et FCPE Groupama
Diffusion aux adhérents CFDT :
- du compte rendu de la réunion extraordinaire du Comité de Groupe du 9 Mai. Cette réunion répond à la demande formulée lors du Comité de Groupe du 11/04/2012, suite aux décès de nos 2 collègues, et porte sur les risques psycho-sociaux dans les entreprises du Groupe.
- du compte rendu CFDT de la réunion du Conseil de surveillance des FCPE Groupama (12/4/12)
- du compte rendu de la réunion extraordinaire du Comité de Groupe du 9 Mai. Cette réunion répond à la demande formulée lors du Comité de Groupe du 11/04/2012, suite aux décès de nos 2 collègues, et porte sur les risques psycho-sociaux dans les entreprises du Groupe.
- du compte rendu CFDT de la réunion du Conseil de surveillance des FCPE Groupama (12/4/12)
jeudi 10 mai 2012
Harcèlement sexuel : combler le vide juridique au plus vite
Après la mise en cause par un prévenu de la loi qui permet de sanctionner pénalement le harcèlement sexuel, le Conseil constitutionnel a décidé, ce vendredi 4 mai, d’abroger l’article l. 222. 33 du code pénal.
Cette décision crée un vide juridique préoccupant pour les victimes. Il est indispensable d’engager au plus vite un processus d’élaboration d’une norme pour combler ce vide.
Les conséquences de cette situation doivent être tirées pour l’élaboration des nouvelles dispositions :
la nouvelle définition du délit doit être suffisamment précise pour
permettre une parfaite répression de celui-ci et déclencher une
véritable prévention ainsi qu’une réelle prise en charge des victimes.
Pour la CFDT, le législateur se doit d’intervenir dans les meilleurs délais sur un sujet où il y a trop souvent une tendance culturelle à minimiser la gravité des faits et leur impact sur les victimes.
CDS groupe "formation" (20 avril 2012)
Diffusion aux adhérents CFDT de la présentation et du compte rendu de la commission de dialogue social Formation professionnelle Groupama / Gan du 20 avril 2012.
mercredi 2 mai 2012
J'ai le parachute... chut ! doré
Diffusion aux adhérents CFDT ;
- du document de référence Groupama SA 2011, document transmis à l'AMF (autorité des marchés financiers),
- de quelques articles de presse suite à la publication de ce document.
jeudi 26 avril 2012
1er mai : redonner confiance et apaiser notre démocratie

Le
bureau national de la CFDT qui s’est réuni les 25 et 26 avril a fait
l’analyse du premier tour de l’élection présidentielle. Il a débattu de
ce qui fonde, dans le désarroi de nombreux salariés, les votes qui se
sont portés sur des partis populistes.
Le
chômage de masse, les menaces sur l’emploi, les difficultés à faire
face aux dépenses contraintes (logement, énergie, transport, santé),
l’inquiétude sur l’avenir des jeunes, la difficulté à se projeter dans
un avenir meilleur, le décalage des thèmes mis en avant dans la
campagne, parfois si éloignés des préoccupations des salariés, peuvent
conduire à se retrancher dans un vote de protestation, dans des
tentations de repli national.
Quelque soit le candidat élu le 6 mai, il devra faire face à la crise
des dettes publiques et aux grandes mutations à l’œuvre dans l’économie
mondiale. Pour les salariés confrontés aux problèmes d’emploi et de
pouvoir d’achat, il n’y aura pas d’état de grâce. La CFDT est pourtant persuadée que des choix de justice sociale peuvent être faits pour changer le quotidien des salariés.
Les rassemblements :
Aube : 10h à Troyes
Marne : 10h à Reims, Epernay, Châlons en Champagne, Vitry le François
Ardennes : de 10h30 à 12h salle de Nevers à Charleville-Mézières puis cortège jusque la gare.
Pas-de-Calais : Boulogne-sur-Mer devant la Bourse du Travail à 9h
Nord : Douai : Place Carnot à 10 heures, Dunkerque devant l'Avenir (à côté de la gare) à 10 heures, Grande-Synthe au Palais du Littoral à 13 heures, Hazebrouck devant le Palais de Justice à 10h45, Lille à la Porte des Postes à 10h30lundi 23 avril 2012
3 avenants à l'ANG et 1 article de presse.
Diffusion aux adhérents CFDT de :
- la copie des originaux des derniers avenants de l'ANG (accord national Groupama) qui viennent d'être conclus à Paris. Attention : l'avenant relatif à l'abandon du sursalaire prend effet au 1/1/12,
- la copie des originaux des derniers avenants de l'ANG (accord national Groupama) qui viennent d'être conclus à Paris. Attention : l'avenant relatif à l'abandon du sursalaire prend effet au 1/1/12,
- d'un article de l'Argus de l'Assurance (entretien avec Fabrice
Heyries, DRH du groupe) après les suicides de collègues dans des
caisses de Groupama.
jeudi 19 avril 2012
Normalisation ou bureaucratisation ?
Diffusion aux adhérents CFDT du document relatif à l'activité
commerciale présenté lors de la réunion du CCE du 5 avril
2012 et une analyse de la délégation CFDT Groupama Nord-Est
mercredi 18 avril 2012
Mouvement social à l'UES Groupama Gan
Diffusion aux adhérents CFDT d'un tract de l'intersyndicale de l'UES Groupama-Gan pour une mobilisation organisée le 19 avril 2012 (site parisien et sites de province de l'UES).
mardi 17 avril 2012
Comité de groupe Groupama Gan du 11 avril 2012 à Paris
Diffusion aux adhérents du compte rendu CFDT du Comité de groupe du 11 avril 2012.
lundi 16 avril 2012
Combien ?... Non !.....
Diffusion aux adhérents du deuxième bilan CFDT des
NAO (négociations annuelles obligatoires) sur les salaires 2012
du secteur assurance.
Combien
les salariés gagnent-ils réellement ? Comment évoluent leurs
rémunérations ? Quelles différences entre secteurs professionnels ?
Pour répondre à ces questions, la CFDT lance une grande enquête auprès des salariés sur les salaires et les rémunérations. Pendant deux mois, à partir du lundi 16 avril, le site www.nossalaires.fr accueille le questionnaire en ligne
de cette enquête qui s’intéresse à ce que perçoivent réellement les
salariés, au plus près de leur situation et de leur feuille de paie.
Cette étude marque aussi la création d’un observatoire des salaires et des rémunérations baptisé Orion. Cet observatoire initié par la CFDT a vocation à analyser la réalité et les évolutions de la rémunération du travail.
Répondre à l’enquête ne fait appel à aucune donnée nominative. La CFDT garantit une confidentialité totale.
jeudi 12 avril 2012
Comité de Groupe Groupama / Gan du 11 avril 2012 à Paris
Diffusion aux adhérents CFDT :
· de la déclaration commune des organisations syndicales de Groupama Gan lue lors du Comité de Groupe du 11 avril 2012,
· du relevé synthétique cfdt du Comité de Groupe,
· un article de presse relatif à la recapitalisation de GGVie.
· de la déclaration commune des organisations syndicales de Groupama Gan lue lors du Comité de Groupe du 11 avril 2012,
· du relevé synthétique cfdt du Comité de Groupe,
· un article de presse relatif à la recapitalisation de GGVie.
CFDT CFE-CGC CFTC
CGT FO UNSA
Déclaration des organisations syndicales
de Groupama au
Comité de Groupe du 11/04/2012
« Les
organisations syndicales CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO et UNSA, face aux
suicides et aux tentatives de suicides de plusieurs salariés de Groupama-Gan appellent la Direction du Groupe à une
réaction immédiate et exemplaire.
Depuis
plusieurs mois, le rythme des actes désespérés de salariés de Groupama-Gan est
en forte recrudescence et il nous paraît évident que, pour certains cas, il y a
un lien avec le travail.
Nos
organisations syndicales ne souhaitent pas faire une médiatisation excessive
qui pourrait donner lieu à l’instrumentalisation de la mort et de la souffrance
de nos collègues mais elles se doivent de vous alerter.
Malgré
maintes interventions de nos représentants dans les différentes Instances
Représentatives du Personnel de plusieurs entités, les directions refusent
d’entendre la souffrance des salariés, s’enferment dans une position de déni et
ne souhaitent pas amorcer la moindre réflexion constructive sur ce sujet.
Plusieurs
rapports des médecins du travail, d’experts
et d’enquête de CHSCT pointent
explicitement parmi les causes de souffrances à Groupama-Gan :
l’organisation du travail, certains modes de management, les pertes de repères
incessantes, la pression excessive sur les résultats, les charges de travail, des
contraintes psychiques élevées et des besoins structurels de main d’œuvre non
satisfaits dans de nombreuses unités de travail.
Nos
organisations syndicales ont, à plusieurs reprises et notamment lors des
commissions de suivi de l’accord sur « la qualité de vie au
travail », pointé du doigt une dégradation des conditions de travail due à
la mise en place d’outils d’industrialisation du travail comme APOGEE ou bien
encore OPC.
La direction ne peut, sous prétexte de crise économique et
financière, s’exonérer de sa lourde
responsabilité sociale, civile et pénale et ne doit pas se contenter de traiter
le mal être des salariés par le recours à une cellule d’écoute.
Les défaillances de la gouvernance et les
conséquences qui en résultent vont faire peser des risques supplémentaires sur
le plan social, sur le plan de l'emploi, sur le plan de la santé au
travail sur le plan des risques
psychosociaux.
La mise en place d’une véritable politique de prévention est désormais une
urgence absolue, d’autant qu’en matière de protection de l’intégrité physique
et mentale des Salariés, l’employeur à une obligation de résultats.
Malgré
la conclusion en janvier 2011 de l’accord national relatif à la « qualité
de vie au travail », les organisations syndicales constatent que cet
accord n’a pas été mis en place dans les différentes entités de Groupama-Gan et
que la situation se dégrade de manière alarmante, générant les situations de
désespoir dans lesquelles nous nous trouvons aujourd’hui.
Les
organisations syndicales demandent que, dans le cadre de la Commission de
Dialogue Social Groupe, soit organisée dans les plus brefs délais, une réunion spécifique
afin de faire toute la lumière sur ces évènements tragiques et d’identifier les risques potentiels qu’engendrent les organisations du
travail dans les entreprises afin d’établir des mesures préventives et de
prendre en considération le respect des salariés et la préservation de leur
santé.
En
outre les membres du Comité de Groupe demandent une réunion extraordinaire
sur ce sujet.
La
gravité des événements récents implique une prise de conscience exemplaire à tous
les niveaux du Groupe. »
Déclaration de la commission exécutive de la CFDT Retraités du 11 avril 2012
Le paiement des retraites de la sécurité sociale, le 1er du mois est
de nature à aider très concrètement les retraités, notamment les plus
modestes, à honorer les factures parfois lourdes comme celles du loyer
et des charges, en début de mois.
Au chapitre des promesses électorales, la CFDT
Retraités relève celle du président-candidat d’avancer le paiement des
pensions du régime général au 1er du mois. Mais il ne fait que reprendre
une promesse non tenue de son actuel gouvernement. La CFDT Retraités
note que cette promesse de campagne balaie à elle seule les arguments
fallacieux utilisés jusqu’à présent pour empêcher une mesure pourtant
simple à mettre en œuvre.Le paiement des pensions au 1er du mois au lieu du 9 actuellement est une revendication de longue date de la CFDT Retraités. La loi de 2010 portant réforme des retraites avait prévu de la mettre à l’étude, et un rapport de faisabilité avait été rendu. Elle posait des problèmes techniques et financiers insurmontables au ministre Xavier Bertrand et à la Cnav. À plusieurs reprises, la CFDT Retraités a dénoncé les atermoiements du ministre, malgré l’engagement qu’il avait pris en juin 2011, pour la rendre rapidement effective. Dernièrement encore sur BFM-TV, le même ministre prétextait une mesure coûteuse. Pourtant le coût de l’avance de trésorerie pour quelques jours est chiffré à moins de 0,02 %, coût faible au regard des 90 milliards d’euros de prestations versées au seul régime général. Ce coût reste faible également au regard de son utilité pour de nombreux retraités.
Cette mesure était attendue par les retraités concernés depuis juin 2011, ils nous le disent. Au cœur de la campagne électorale, elle revient sous forme d’une nouvelle promesse. En tout état de cause, la CFDT Retraités reste décidée à faire aboutir rapidement cette revendication. Quel que soit le président qui sortira des urnes le 6 mai.
mercredi 11 avril 2012
Santé !
Diffusion aux adhérents CFDT :
- d'une invitation à une formation syndicale CFDT : "connaissance des instances du
personnel à Groupama" (délégation du personnel, comité d'entreprise,
CHSCT, etc.),
- de la mise à jour de la législation relative à la surveillance médicale des salariés,
- d'une note issue des débats du bureau national de la CFDT des 21 et 22 mars 2012 sur "la politique de santé"
La citation du jour : "le travail c'est bien une maladie, puisqu'il y a une médecine du travail" (Coluche)

- de la mise à jour de la législation relative à la surveillance médicale des salariés,
- d'une note issue des débats du bureau national de la CFDT des 21 et 22 mars 2012 sur "la politique de santé"
La citation du jour : "le travail c'est bien une maladie, puisqu'il y a une médecine du travail" (Coluche)
mardi 10 avril 2012
Réunion DRH / Syndicats à Groupama Nord-Est (10/4/12)
Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu de la réunion DRH / Syndicats du 10 avril 2012 à Reims
A l'ordre du jour :
1) Approbation du compte-rendu de la réunion du 13 mars 2012
2) Poursuite des échanges sur le protocole pré-électoral 2013
3) Demandes CFDT complémentaires sur le CHSCT :
4) Projet d'accord d'entreprise sur le supplément d'intéressement 2011
5) Retour sur la Commission d'Orientation Qualité de Vie au Travail du 2 avril 2012
Questions diverses
A l'ordre du jour :
1) Approbation du compte-rendu de la réunion du 13 mars 2012
2) Poursuite des échanges sur le protocole pré-électoral 2013
3) Demandes CFDT complémentaires sur le CHSCT :
4) Projet d'accord d'entreprise sur le supplément d'intéressement 2011
5) Retour sur la Commission d'Orientation Qualité de Vie au Travail du 2 avril 2012
Questions diverses
mercredi 4 avril 2012
CCE à Groupama Nord-Est (5 avril 2012)
A l'ordre du jour :
- Point d'actualité du Groupe et actualité de Groupama Nord-Est : résultats 2011 du Groupe et baromètre mensuel
- Présentation des Comptes 2011 de GNE et compte-rendu de la Commission économique du CCE
- Structure de l'activité commerciale
- Bilan Recrutement 2011
- Point sur les négociations en cours
- Bilan Offre Libre Service 2011
- Questions diverses
Un compte rendu a été diffusé aux adhérents à l'issue de la réunion
- Point d'actualité du Groupe et actualité de Groupama Nord-Est : résultats 2011 du Groupe et baromètre mensuel
- Présentation des Comptes 2011 de GNE et compte-rendu de la Commission économique du CCE
- Structure de l'activité commerciale
- Bilan Recrutement 2011
- Point sur les négociations en cours
- Bilan Offre Libre Service 2011
- Questions diverses
Un compte rendu a été diffusé aux adhérents à l'issue de la réunion
Déclaration des élus du CCE :
Nous venons
d'apprendre que trois salariés de notre Groupe se sont dernièrement suicidés.
Sans préjuger des résultats des enquêtes en cours sur les causes de ces gestes
de désespoir, nous voulons une nouvelle fois alerter la direction sur l'extrême
attention qu'il y a lieu d'apporter à la gestion et à la réelle mise en œuvre de la qualité de vie au travail, et en
particulier aux risques psychosociaux.
Pour exemple,
dans le cadre de notre accord, est prévue une cellule d'assistance
téléphonique pour nos collègues en
détresse. A ce jour, quelle communication réelle
a été faite auprès de ceux-ci? Un affichage informant du numéro de téléphone
d'assistance psychologique pour ceux de nos collègues dans le désarroi a-t-il
été communiqué ?
Autre exemple, l'entreprise
est extrêmement attachée à l'atteinte des résultats. De fait, ce point est abordé au cours de pratiquement
toutes les réunions.
L'entreprise nous affirme être également extrêmement
attachée à la QVT (qualité de vie au travail), pour autant, à notre
connaissance, cet item n'apparaît jamais comme un point de l'ordre du jour à
part entière !
Face à ces drames absolus, il apparaît essentiel que
tous les moyens doivent être mis en œuvre par l'entreprise pour que la qualité
de vie au travail ne reste pas qu'un concept théorique et ne soit à l'origine
d'un tel drame.
Reims le 5
avril 2012.
Avenants à l'ANG
Diffusion aux adhérents CFDT d'une information relative à la négociation d'avenants modifiant l'Accord
National Groupama (évolution
de l’allocation d’éducation (article
30) et des congés familiaux (article 43-2 )). Afin de résumer ces modifications, la délégation CFDT a
réalisé un tableau qui
synthétise les débats entre ce que voulait la CFDT et ce qu’elle
a obtenu.
Diffusion également d'une information relative à deux drames survenus à Groupama Paris Val de Loire et Groupama d'Oc
Diffusion également d'une information relative à deux drames survenus à Groupama Paris Val de Loire et Groupama d'Oc
mercredi 28 mars 2012
Le chômage progresse toujours
Les chiffres du chômage de février viennent d’être publiés. Ils montrent que le chômage augmente toujours. C’est
la conséquence de l’absence de reprise économique et d’une politique de
l’emploi inefficace. Les effets de la crise sont toujours là et les salariés en supportent toujours les conséquences.
Ces chiffres indiquent également que de plus en plus de personnes se trouvent dans des situations de grande précarité.
C’est particulièrement vrai pour les plus de 50 ans (+1,4 % en un mois, soit 15,3 % de plus depuis un an).
mardi 27 mars 2012
Représentativité syndicale nationale à Groupama (périmètre mutualiste) au 16 mars 2012
CFDT : 40,01 %
Unsa : 15,74 %
Cgc : 14,24 %
Fo : 12,91 %
Cgt : 12 %
Cftc : 4,49 %
Autres : 0,61 %
Unsa : 15,74 %
Cgc : 14,24 %
Fo : 12,91 %
Cgt : 12 %
Cftc : 4,49 %
Autres : 0,61 %
vendredi 23 mars 2012
Les élus du CCE UES Groupama Gan s'adressent au Conseil d'administration de Groupama SA
Diffusion aux adhérents CFDT du
courrier adressé par les élus du CCE de l'UES Groupama Gan
aux administrateurs de Groupama SA.
mercredi 21 mars 2012
Retraites complémentaires : le pouvoir d’achat est préservé
La
commission paritaire de l’Agirc-Arrco a décidé ce 20 mars une
revalorisation de 2,30% des pensions des régimes complémentaires de
retraites au 1er avril 2012.
Cette revalorisation suivra ainsi l’évolution des prix à la consommation comme prévu par l’accord signé en 2011 par les partenaires sociaux.
L’action de la CFDT a été déterminante
pour convaincre l’ensemble des organisations patronales et syndicales, à
l’exception de la CGT, de la nécessité d’appliquer intégralement
l’accord paritaire. Le patronat demandait ainsi depuis plusieurs
semaines une revalorisation inférieure à l’inflation pour 2012.
Cette
revalorisation s’appliquera à tous les retraités du secteur privé, qui
perçoivent une pension de l’Arrco, ainsi qu’aux retraités cadres qui
reçoivent également une pension de l’Agirc.
Grâce à la CFDT et aux organisations signataires de l’accord de 2011, le pouvoir d’achat des retraites complémentaires de 11,5 millions de personnes sera préservé en 2012.
vendredi 16 mars 2012
2011, c'est fini ! 2012 : retour aux fondamentaux mutualistes ?
Diffusion aux adhérents CFDT d'une information relative aux résultats 2011 du groupe et sur la cession de la filiale polonaise.
lundi 12 mars 2012
Réunion DRH / Syndicats à Groupama Nord-Est (13/3/12)
A l'ordre du jour :
- Projet d'accord sur le maintien de salaire - Recueil des positions syndicales en séance
- Projet de protocole pré électoral 2013
- Point sur les horaires en agence
- Questions diverses
Un compte rendu CFDT a été adressé aux adhérents CFDT à l'issue de cette réunion.
- Projet d'accord sur le maintien de salaire - Recueil des positions syndicales en séance
- Projet de protocole pré électoral 2013
- Point sur les horaires en agence
- Questions diverses
Un compte rendu CFDT a été adressé aux adhérents CFDT à l'issue de cette réunion.
jeudi 8 mars 2012
La transparence : une valeur mutualiste ?
Diffusion aux adhérents CFDT d'une interview de Jean Luc BAUCHEREL, Président de Groupama Loire Bretagne et du Conseil d'Administration de Groupama SA.
Cette interview a été publiée dans le journal Ouest France le 7 mars 2012 et sur le site Entreprises Ouest France , le site du journal Ouest France dédié à l'actualité des entreprises, le 6 mars. Il faut noter qu'une fin de réponse diffère entre l'édition papier et l'édition en ligne. Depuis hier après midi, les versions papier et internet sont identiques.Vous pourrez le constater en allant sur la page http://www.entreprises.ouest-france.fr/article/groupama-plus-dur-est-derriere-nous-06-03-2012-47228.
La première version de l'interview a été publiée sur le site le 06/03/2012, elle est donc antérieure à la version papier. La phrase « le groupe envisage de renforcer sa performance avec la constitution de plates-formes communes entre plusieurs caisses régionales, pour les sinistres notamment » a donc bien été prononcée par le Président, éditée en ligne puis modifiée dans la version papier puis sur le site.
Le Secrétaire du Comité de Groupe (JD Santoni (CFDT Groupama Méditerranée)) vient d'envoyer un courrier au Directeur Général, Thierry MARTEL, lui demandant quelques explications (copie du courrier diffusée aux adhérents CFDT).
Affaire à suivre...
Cette interview a été publiée dans le journal Ouest France le 7 mars 2012 et sur le site Entreprises Ouest France , le site du journal Ouest France dédié à l'actualité des entreprises, le 6 mars. Il faut noter qu'une fin de réponse diffère entre l'édition papier et l'édition en ligne. Depuis hier après midi, les versions papier et internet sont identiques.Vous pourrez le constater en allant sur la page http://www.entreprises.ouest-france.fr/article/groupama-plus-dur-est-derriere-nous-06-03-2012-47228.
La première version de l'interview a été publiée sur le site le 06/03/2012, elle est donc antérieure à la version papier. La phrase « le groupe envisage de renforcer sa performance avec la constitution de plates-formes communes entre plusieurs caisses régionales, pour les sinistres notamment » a donc bien été prononcée par le Président, éditée en ligne puis modifiée dans la version papier puis sur le site.
Le Secrétaire du Comité de Groupe (JD Santoni (CFDT Groupama Méditerranée)) vient d'envoyer un courrier au Directeur Général, Thierry MARTEL, lui demandant quelques explications (copie du courrier diffusée aux adhérents CFDT).
Affaire à suivre...
mercredi 7 mars 2012
Situation du Groupe : le chaud et le froid (! ou ?)
- d'une copie du mail du Directeur général de Groupama Loire Bretagne adressé aux collègues de cette caisse régionale,
- du texte des interviews de Thierry Martel (directeur général du Groupe) à Europe 1 et à la Chaine d'informations LCI,
- d'un article de l'Agefi quotidien sur la position sur Groupama de l'agence Standard & Poor's (!!!!),
- du compte rendu de la rencontre CFDT entre une délégation CFDT conduite par François CHEREQUE et le DRH Groupe.
vendredi 2 mars 2012
Dans l'Express ...
Diffusion aux adhérents CFDT d'un article du journal l'Express relatif à la situation du groupe Groupama.
mercredi 29 février 2012
CCE UES Groupama Gan (23/02/12)
Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu CFDT du CCE de l'UES Groupama Gan du 23 février.
mardi 28 février 2012
Dans la presse ....
Diffusion aux adhérents CFDT de deux articles de presse (Reuters et Figaro) relatifs à l'évolution de la stratégie de Groupama : la cotation boursière et l'objectif d'être dans les 10 premiers assureurs européens .... c'est fini !
Cotation boursière : suite et fin !

Le projet de mise en Bourse de la société française avait déjà été reporté à 2015 à l'automne dernier.
"Nous avons décidé de mettre un terme au projet de cotation du groupe", déclare Thierry Martel dans un entretien dans l'édition de mardi du quotidien, en expliquant que Groupama souhaite désormais privilégier une stratégie de performance plutôt qu'une stratégie de taille.
Thierry Martel, qui a pris la tête de l'assureur en automne dernier après la révocation de Jean Azéma, précise par ailleurs que les discussions en vue d'une cession de Gan Eurocourtage et de ses activités en Grande-Bretagne suivent leurs cours.
"Les deux opérations avancent normalement. Plusieurs candidats se sont manifestés et sont actuellement en data room", déclare-t-il, en confirmant que le choix du repreneur de Gan Eurocourtage sera annoncé le mois prochain.
Il se montre également confiant concernant la fusion de sa filiale Silic avec Icade, la société foncière de la Caisse des dépôts et consignations (CDC).
"J'ai toute confiance dans le succès de cette opération. Le prix auquel nous avons cédé notre participation correspond au prix de marché, comme le démontrent les études des experts", assure Thierry Martel, en réponse aux critiques d'actionnaires minoritaires s'estimant lésés par le prix de la transaction.
Ces opérations s'inscrivent dans le cadre du renflouement de l'assureur français dont la solvabilité financière a été mise à mal par une exposition supérieure à la moyenne aux actions et aux obligations d'Etats de la zone euro.
Contraint de passer d'importantes dépréciations en 2011, Groupama publiera des comptes dans le rouge le 16 mars prochain.
"Il faut (...) s'attendre, en raison de la baisse des marchés actions au second semestre 2011 et de notre forte exposition à la crise grecque à un résultat net déficitaire", explique le dirigeant.
"La crise grecque nous aura coûté un peu plus de 2 milliards d'euros. Par ailleurs, la chute des marchés actions au second semestre 2011 aura pesé à hauteur de 1,2 milliard sur les titres Société générale et à hauteur de 600 millions d'euros sur les titres Veolia", ajoute-t-il.
vendredi 24 février 2012
Groupama : le CE saisit le conseil d’administration, suite au rapport Secafi Alpha
source : l'Argus de l'Assurance.
Les conclusions du rapport du cabinet Secafi Alpha dans le cadre de la procédure de droit d’alerte lancée par les syndicats ont été présentées le 23 février dans l'après midi au cours du CCE (comité central d’entreprise) de l’UES Groupama/Gan qui a réunit Thierry Martel, directeur général et les instances syndicales. Selon nos informations, le comité d’entreprise a voté à l'unanimité la saisine du conseil d’administration de Groupama qui aura lieu en avril prochain.
Le rapport du cabinet d'expertise pointe notamment la politique de gestion menée entre les années 2008 et 2011, en soulignant les arbitrages qui ont fait défaut, comme le fait d’avoir conservé des actifs fragiles (notamment de la dette souveraine) et de ne pas avoir suffisamment réduit la voilure sur la ligne actions. Concernant la gouvernance, les experts ont relevé des « angles morts » : plusieurs instances décisionnelles ne travailleraient pas suffisamment de concert chez Groupama, avec un manque de partage d’informations entre les différents conseils d’administrations des caisses régionales et celui de la SA.
Enfin, et sans surprise, la politique d’investissement soutenue engagée par Groupama, notamment à l’international, a eu un coût avec un point d’équilibre difficile à trouver dans le temps. Le rapport indique également une difficulté particulière de l’assureur mutualiste en termes de « retour sur investissement ». Prochaine étape, le propre rapport du CCE qui sera remis à la direction générale lors du comité du 22 mars. "Nous attendons des réponses motivées du conseil d'aministration en espérant que toutes les ventes (Gan Eurocourtage, filiale au Royaume Uni) ne seront pas encore complètement entérinées", a indiqué un délégué CFDT.
Les conclusions du rapport du cabinet Secafi Alpha dans le cadre de la procédure de droit d’alerte lancée par les syndicats ont été présentées le 23 février dans l'après midi au cours du CCE (comité central d’entreprise) de l’UES Groupama/Gan qui a réunit Thierry Martel, directeur général et les instances syndicales. Selon nos informations, le comité d’entreprise a voté à l'unanimité la saisine du conseil d’administration de Groupama qui aura lieu en avril prochain.
Le rapport du cabinet d'expertise pointe notamment la politique de gestion menée entre les années 2008 et 2011, en soulignant les arbitrages qui ont fait défaut, comme le fait d’avoir conservé des actifs fragiles (notamment de la dette souveraine) et de ne pas avoir suffisamment réduit la voilure sur la ligne actions. Concernant la gouvernance, les experts ont relevé des « angles morts » : plusieurs instances décisionnelles ne travailleraient pas suffisamment de concert chez Groupama, avec un manque de partage d’informations entre les différents conseils d’administrations des caisses régionales et celui de la SA.
Enfin, et sans surprise, la politique d’investissement soutenue engagée par Groupama, notamment à l’international, a eu un coût avec un point d’équilibre difficile à trouver dans le temps. Le rapport indique également une difficulté particulière de l’assureur mutualiste en termes de « retour sur investissement ». Prochaine étape, le propre rapport du CCE qui sera remis à la direction générale lors du comité du 22 mars. "Nous attendons des réponses motivées du conseil d'aministration en espérant que toutes les ventes (Gan Eurocourtage, filiale au Royaume Uni) ne seront pas encore complètement entérinées", a indiqué un délégué CFDT.
mercredi 22 février 2012
UDSG / Syndicats Groupama (réunion du 22 février)
Diffusion aux adhérents du compte rendu CFDT de la réunion du 22 février entre l'UDGS et les organisations syndicales de Groupama
vendredi 17 février 2012
Élections Caisse des cadres de l'agriculture
Diffusion aux adhérents CFDT d'informations pour les élections à la Caisse des cadres du régime agricole
jeudi 16 février 2012
Rémunération variable 2011 à Groupama 51/08 (réseau et CRC)
Diffusion aux adhérents CFDT de la mise à jour du tableau relatif à l'évolution de la rémunération variable à Groupama Marne-Ardennes (de 2002 à 2011).
mercredi 15 février 2012
Situation du Groupe "Groupama" : communiqué CFDT
mardi 14 février 2012
CCE Groupama Nord-Est du 14 février 2012
Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu CFDT de la réunion du CCE du 14 février 2012. Un premier point d'information sur le montant de l'intéressement (versé en juillet) dans ce compte rendu.
lundi 13 février 2012
"Entretiens économiques" (siège de la FFSA à Paris / 31 janvier 2012)
Diffusion aux adhérents CFDT du diaporama présenté lors de la réunion des "entretiens économiques" dans le cadre de la CCNSA (siège de la FFSA à Paris / 31 janvier 2012)
vendredi 10 février 2012
Autoformation CHSCT (Inrs)
Diffusion d'un module de 4 heures d’autoformation aux élus des CHSCT de GNE
jeudi 9 février 2012
Avenir du périmètre de Groupama et bilan NAO (périmètre mutualiste)
Diffusion aux adhérents CFDT d'un article du journal web "la Tribune" relatif au CCE de l'UES Groupama Gan du 8 février à Paris et de la synthèse des NAO (négociations annuelles obligatoires sur les salaires) dans le périmètre mutualiste de Groupama.
mercredi 8 février 2012
Représentativité ....
La Fédération Banques et Assurances CFDT a décidé d’adhérer à l’accord du 3 mars 1993 concernant les Cadres de Direction des sociétés d’assurance.
mardi 7 février 2012
Assurance chômage : l’Unedic doit demeurer un outil performant pour aider les demandeurs d’emploi
Ce mardi matin, l'Unedic a renouvelé son bureau en vertu de la règle de l’alternance entre syndicat et patronat à la présidence. Patricia Ferrand, de la CFDT, a été élue vice-présidente.
La CFDT se fixe trois priorités pour les deux prochaines années :
La mise en œuvre des accords d’assurance chômage et des autres accords financés via l’Unedic (contrat de sécurisation professionnelle, emploi des jeunes, Activité partielle de longue durée …) ;
Le pilotage et le suivi de la convention tripartite Etat-Unedic-Pôle emploi, qui définit les missions de Pôle emploi ;
L'appui des partenaires sociaux dans cadre du groupe paritaire assurance chômage.
Dans un contexte de crise, avec des records de chômage, les syndicats et les organisations patronales doivent assumer pleinement leur rôle.
Au cours de cette mandature, la CFDT veillera à ce que l’Unedic soit un outil performant pour lutter contre le chômage et aider les demandeurs d’emploi victimes de la crise, notamment les plus précaires et les chômeurs de longue durée.
La CFDT se fixe trois priorités pour les deux prochaines années :
La mise en œuvre des accords d’assurance chômage et des autres accords financés via l’Unedic (contrat de sécurisation professionnelle, emploi des jeunes, Activité partielle de longue durée …) ;
Le pilotage et le suivi de la convention tripartite Etat-Unedic-Pôle emploi, qui définit les missions de Pôle emploi ;
L'appui des partenaires sociaux dans cadre du groupe paritaire assurance chômage.
Dans un contexte de crise, avec des records de chômage, les syndicats et les organisations patronales doivent assumer pleinement leur rôle.
Au cours de cette mandature, la CFDT veillera à ce que l’Unedic soit un outil performant pour lutter contre le chômage et aider les demandeurs d’emploi victimes de la crise, notamment les plus précaires et les chômeurs de longue durée.
vendredi 3 février 2012
Comité de Groupe Groupama Gan (26 janvier 12)
Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu CFDT du Comité de Groupe Groupama / Gan du 26 janvier (et de sa réunion préparatoire).
jeudi 2 février 2012
Retraite complémentaire : Jean-Paul Bouchet élu vice président de l’Agirc
Jean-Paul Bouchet, secrétaire général de la CFDT Cadres et membre du bureau national confédéral de la CFDT, a été élu aujourd’hui vice président de l’Agirc (Association générale des institutions de retraite des cadres).
Dans cette responsabilité, l’objectif de la CFDT, première organisation chez les cadres, est de mettre en œuvre l’accord du 18 mars 2011 sur les retraites complémentaires des salariés du privé et de consolider l’Agirc en poursuivant son harmonisation avec l’Arrco (Association pour le régime de retraite complémentaire des salariés).
Alors que l’équilibre financier des régimes est fragilisé par la crise et l’accroissement du chômage, l’accord de 2011 préserve le niveau des retraites complémentaires et fait converger positivement les droits familiaux.
A la présidence paritaire de l’Agirc, la CFDT continuera de s’engager pour la pérennité des régimes.
Les cadres, qui cotisent à l’Agirc ainsi qu’à l’Arrco, peuvent ainsi être confiants dans l’avenir de leur retraite complémentaire.
Dans cette responsabilité, l’objectif de la CFDT, première organisation chez les cadres, est de mettre en œuvre l’accord du 18 mars 2011 sur les retraites complémentaires des salariés du privé et de consolider l’Agirc en poursuivant son harmonisation avec l’Arrco (Association pour le régime de retraite complémentaire des salariés).
Alors que l’équilibre financier des régimes est fragilisé par la crise et l’accroissement du chômage, l’accord de 2011 préserve le niveau des retraites complémentaires et fait converger positivement les droits familiaux.
A la présidence paritaire de l’Agirc, la CFDT continuera de s’engager pour la pérennité des régimes.
Les cadres, qui cotisent à l’Agirc ainsi qu’à l’Arrco, peuvent ainsi être confiants dans l’avenir de leur retraite complémentaire.
mardi 31 janvier 2012
Bilatérale CFDT Groupama / DRH Groupe (27/01/12)
Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu de la bilatérale CFDT Groupama / DRH Groupe du 27 janvier à Paris (avec notamment le nouveau DRH Groupe M. Heyries).
lundi 30 janvier 2012
Permanences syndicales CFDT à Groupama Nord-Est (ouvertes à tous) - 1er semestre 2012
Au local régional CFDT Groupama Nord-Est (03.26.82.47.67) à la Maison des agriculteurs / 4ème étage / immeuble restaurant d’entreprise de 9h30 à 12h30 :
- jeudi 9 février
- jeudi 22 mars
- jeudi 10 mai
Au local syndical Groupama Marne-Ardennes à Reims (esplanade Roland Garros) de 11h30 à 12h45 :
- vendredi 10 février
- vendredi 13 avril
- vendredi 8 juin
Pour un rendez-vous (hors jours des permanences), adresser un mail à : cfdt.gne@gmail.com
- jeudi 9 février
- jeudi 22 mars
- jeudi 10 mai
Au local syndical Groupama Marne-Ardennes à Reims (esplanade Roland Garros) de 11h30 à 12h45 :
- vendredi 10 février
- vendredi 13 avril
- vendredi 8 juin
Pour un rendez-vous (hors jours des permanences), adresser un mail à : cfdt.gne@gmail.com
vendredi 27 janvier 2012
Bilatérale CFDT / UDSG à Paris (24/01/12)
lundi 23 janvier 2012
Avenir de Gan Eurocourtage et tract CFDT GNE
Diffusion aux adhérents CFDT :
- d'un tract CFDT Groupama / Gan (Paris) diffusé la veille du CCE de l'UES Groupama-Gan à Gan Eurocourtage le 19/01,
- d'un article de la Tribune du 23/1/12,
- d'une copie du tract CFDT Groupama Nord-Est qui sera diffusé à l'ensemble du personnel de GNE d'ici le 6 février
- d'un tract CFDT Groupama / Gan (Paris) diffusé la veille du CCE de l'UES Groupama-Gan à Gan Eurocourtage le 19/01,
- d'un article de la Tribune du 23/1/12,
- d'une copie du tract CFDT Groupama Nord-Est qui sera diffusé à l'ensemble du personnel de GNE d'ici le 6 février
jeudi 19 janvier 2012
Sommet social - Des avancées utiles mais des inquiétudes qui persistent
La CFDT avait demandé la tenue d’un sommet social dès le mois d’août 2011 afin de préparer au plus vite une réponse adaptée aux difficultés prévisibles sur le front de l’emploi. Cinq mois plus tard, alors que ce sommet se tient enfin, la CFDT a insisté sur la nécessité de mettre en place des mesures de court-terme pour soutenir les salariés et les entreprises en difficulté.
Parmi les options retenues par le gouvernement, certaines mesures seront utiles :
Chômage partiel : le dispositif sera simplifié, 100 millions d’euros supplémentaires y seront affectés.
Former plutôt que licencier : l’État financera à hauteur de 40 millions d’euros de la formation pour les entreprises en mutation économique ;
Formation des demandeurs d’emploi : une enveloppe d’urgence de 150 millions d’euros sera allouée pour de la formation, des contrats aidés ou des prestations de retour à l’emploi et la rémunération de fin de formation sera prolongée ;
Les effectifs de Pôle emploi augmenteront de 1 000 postes (la CFDT en demandait le double).
Malgré ces décisions importantes, l’inquiétude de la CFDT persiste sur le financement de la protection sociale. La CFDT reste opposée à la mise en place de la TVA sociale. Une réflexion plus globale sur le financement de la protection sociale est nécessaire. Elle doit notamment avoir lieu au sein du Haut conseil pour le financement de la protection sociale
En ce qui concerne les mesures compétitivité-emploi, la CFDT demande que ce sujet soit intégré à la négociation en cours sur les instances représentatives du personnel (IRP).
Parmi les options retenues par le gouvernement, certaines mesures seront utiles :
Chômage partiel : le dispositif sera simplifié, 100 millions d’euros supplémentaires y seront affectés.
Former plutôt que licencier : l’État financera à hauteur de 40 millions d’euros de la formation pour les entreprises en mutation économique ;
Formation des demandeurs d’emploi : une enveloppe d’urgence de 150 millions d’euros sera allouée pour de la formation, des contrats aidés ou des prestations de retour à l’emploi et la rémunération de fin de formation sera prolongée ;
Les effectifs de Pôle emploi augmenteront de 1 000 postes (la CFDT en demandait le double).
Malgré ces décisions importantes, l’inquiétude de la CFDT persiste sur le financement de la protection sociale. La CFDT reste opposée à la mise en place de la TVA sociale. Une réflexion plus globale sur le financement de la protection sociale est nécessaire. Elle doit notamment avoir lieu au sein du Haut conseil pour le financement de la protection sociale
En ce qui concerne les mesures compétitivité-emploi, la CFDT demande que ce sujet soit intégré à la négociation en cours sur les instances représentatives du personnel (IRP).
mardi 17 janvier 2012
Temps partiel à Groupama Nord-Est.
NAO, RMA et SMF
Diffusion aux adhérents CFDT :
- du tableau des NAO (Négociations Annuelles Obligatoires sur les salaires) des différentes entreprises de Groupama (périmètre UDSG) au 17 janvier 2012,
- des grilles de salaires applicables à Groupama au 1er janvier 2012.
- du tableau des NAO (Négociations Annuelles Obligatoires sur les salaires) des différentes entreprises de Groupama (périmètre UDSG) au 17 janvier 2012,
- des grilles de salaires applicables à Groupama au 1er janvier 2012.
lundi 16 janvier 2012
Temps de travail : la CFDT s’interroge sur l’étude COE Rexecode
La CFDT est surprise par les résultats de l’étude COE Rexecode. Elle s’interroge sur la viabilité des chiffres, d’autant que COE-Rexecode était déjà l’auteur d’un rapport très contesté sur le coût du travail ayant donné lieu à polémique sur la crédibilité de ses chiffres.
Les éléments avancés amènent plusieurs réflexions :
Le temps annuel effectif serait parmi les plus faibles d’Europe. Il n’est pas rigoureux de comparer des données annuelles entre pays du fait de la différence d’organisation du temps de travail : congés légaux et jours fériés différents, forfait jour qui n’existe qu’en France pour les cadres…
La durée de travail hebdomadaire paraît plus pertinente car elle exclut les différences de congés : elle montre selon Eurostat une proximité du nombre d’heures hebdomadaires pour un temps complet (40,6 h en Allemagne et 39,4 h en France).
L’étude montre que le nombre de salariés à temps partiels a augmenté de 7 % en Allemagne entre 1999 et 2010 alors qu’il a stagné en France. Conjugué à l’absence d’un Smic en Allemagne, la hausse du temps partiel participe à expliquer un accroissement plus élevé de la pauvreté en Allemagne et des inégalités de revenus entre les ménages.
La CFDT est surprise que la communication sur l’étude ne fasse pas ressortir un de ses enseignements liés aux différences de productivité du travail : l’étude montre que la richesse créée par heure de travail est de 42 € en France contre 36 en Allemagne.
Pour la CFDT, optimiser le temps de travail passe par les deux extrémités de la carrière : l’entrée dans la vie active pour les plus jeunes est souvent retardée, tandis que la sortie de vie active est souvent anticipée. Cela réduit le temps de travail tout au long de la vie et explique un taux d’emploi trop bas en France. Ce sont ces aspects qui doivent être notre priorité.
Les éléments avancés amènent plusieurs réflexions :
Le temps annuel effectif serait parmi les plus faibles d’Europe. Il n’est pas rigoureux de comparer des données annuelles entre pays du fait de la différence d’organisation du temps de travail : congés légaux et jours fériés différents, forfait jour qui n’existe qu’en France pour les cadres…
La durée de travail hebdomadaire paraît plus pertinente car elle exclut les différences de congés : elle montre selon Eurostat une proximité du nombre d’heures hebdomadaires pour un temps complet (40,6 h en Allemagne et 39,4 h en France).
L’étude montre que le nombre de salariés à temps partiels a augmenté de 7 % en Allemagne entre 1999 et 2010 alors qu’il a stagné en France. Conjugué à l’absence d’un Smic en Allemagne, la hausse du temps partiel participe à expliquer un accroissement plus élevé de la pauvreté en Allemagne et des inégalités de revenus entre les ménages.
La CFDT est surprise que la communication sur l’étude ne fasse pas ressortir un de ses enseignements liés aux différences de productivité du travail : l’étude montre que la richesse créée par heure de travail est de 42 € en France contre 36 en Allemagne.
Pour la CFDT, optimiser le temps de travail passe par les deux extrémités de la carrière : l’entrée dans la vie active pour les plus jeunes est souvent retardée, tandis que la sortie de vie active est souvent anticipée. Cela réduit le temps de travail tout au long de la vie et explique un taux d’emploi trop bas en France. Ce sont ces aspects qui doivent être notre priorité.
QVT à GNE et avenir de Gan Eurocourtage
Diffusion aux adhérents CFDT :
- des notes CFDT de la réunion de la commission QVT de Groupama Nord-Est du 10 janvier,
- d'un article de la Tribune sur l'avenir de Gan Eurocourtage.
- des notes CFDT de la réunion de la commission QVT de Groupama Nord-Est du 10 janvier,
- d'un article de la Tribune sur l'avenir de Gan Eurocourtage.
jeudi 12 janvier 2012
Avenir de Gan Eurocourtage et de Groupama UK
jeudi 5 janvier 2012
Grève des commerciaux à Groupama d'OC
Diffusion aux adhérents CFDT :
- du tract intersyndical de Groupama d'OC relatif à la grève des commerciaux (vendredi 6 janvier 2011),
- du courrier envoyé à la direction de Groupama d'OC,
- du compte rendu CFDT du CCE de l'UES Groupama Gan du 22/12/2011 (Paris)
- du tract intersyndical de Groupama d'OC relatif à la grève des commerciaux (vendredi 6 janvier 2011),
- du courrier envoyé à la direction de Groupama d'OC,
- du compte rendu CFDT du CCE de l'UES Groupama Gan du 22/12/2011 (Paris)
mercredi 4 janvier 2012
Réunion Drh / Syndicats à GNE le 6 janvier
A l'ordre du jour :
- Signature de l'accord d'entreprise sur les salaires 2012
- Information sur la mise en oeuvre de l'accord national sur les garanties accidents et agressions corporelles des cadres et des non cadres
- Bilan 2010 et projection 2011 sur les résultats techniques du contrat Groupe CFS - tarifs 2012
- Projet de mise en oeuvre d'une garantie spécifique "maintien de salaire en cas de maladie"
- Point sur la mise en oeuvre de l'accord horaires des conseillers commerciaux sédentaires
- Elections professionnelles 2013 - position de l'Inspection du Travail et
calendrier de rédaction du protocole
- Questions diverses
- Ordre du jour de la réunion du 20 janvier 2012
Un compte rendu sera adressé aux adhérents à l'issue de la réunion.
- Signature de l'accord d'entreprise sur les salaires 2012
- Information sur la mise en oeuvre de l'accord national sur les garanties accidents et agressions corporelles des cadres et des non cadres
- Bilan 2010 et projection 2011 sur les résultats techniques du contrat Groupe CFS - tarifs 2012
- Projet de mise en oeuvre d'une garantie spécifique "maintien de salaire en cas de maladie"
- Point sur la mise en oeuvre de l'accord horaires des conseillers commerciaux sédentaires
- Elections professionnelles 2013 - position de l'Inspection du Travail et
calendrier de rédaction du protocole
- Questions diverses
- Ordre du jour de la réunion du 20 janvier 2012
Un compte rendu sera adressé aux adhérents à l'issue de la réunion.
Les NAO à Groupama Nord-Est depuis 2000
La CFDT Groupama Nord-Est est signataire de l'accord 2012 relatif aux augmentations collectives.
Résultat de la consultation des adhérents CFDT Groupama Nord-Est :
- pour la signature : 70,18%,
- contre la signature : 21,05%
- abstention : 8,77%
Cliquer sur les images ci-dessous pour les agrandir


SMF 2012 (négociation nationale, la CFDT n'est pas signataire - application unilatérale de l'UDSG):
Classe 1 : 18 655 €uros
Classe 2 : 19 628 €uros
Classe 3 : 22 313 €uros
Classe 4 : 26 484 €uros
Classe 5 : 31 230 €uros
Classe 6 : 40 989 €uros
Classe 7 : 54 339 €uros
Résultat de la consultation des adhérents CFDT Groupama Nord-Est :
- pour la signature : 70,18%,
- contre la signature : 21,05%
- abstention : 8,77%
Cliquer sur les images ci-dessous pour les agrandir


SMF 2012 (négociation nationale, la CFDT n'est pas signataire - application unilatérale de l'UDSG):
Classe 1 : 18 655 €uros
Classe 2 : 19 628 €uros
Classe 3 : 22 313 €uros
Classe 4 : 26 484 €uros
Classe 5 : 31 230 €uros
Classe 6 : 40 989 €uros
Classe 7 : 54 339 €uros
mercredi 21 décembre 2011
Déclaration du 4ème Forum syndical franco- allemand (20/12/11)
Les organisations syndicales allemandes (DGB) et françaises (CFDT, CFTC, CGT, FO, UNSA) font partie de la famille syndicale européenne et revendiquent des solutions européennes. En raison du rôle particulier que la Chancelière Merkel et le Président Sarkozy jouent actuellement dans l’Union Européenne, elles considèrent de leur responsabilité d’apporter leur analyse sur la situation des deux pays et sur les propositions européennes de leurs plus hauts responsables politiques. Cette démarche s’inscrit dans l’action de la Confédération européenne des syndicats (CES) et se veut une contribution au débat interne de cette dernière.
C’est dans ce cadre que ce forum syndical franco-allemand, réuni à Berlin les 1er et 2 décembre, a décidé de publier cette déclaration commune en faveur d’un changement de cap en Europe.
A partir de l’analyse comparée des situations de l’Allemagne et de la France, nous avons fait les constats suivants :
· Les évolutions salariales au cours des 10 dernières années ont été nettement différentes dans nos deux pays :
o En Allemagne, les décisions politiques, en particulier les réformes du marché du travail, ont conduit au développement d’un secteur de plus en plus large de bas salaires, favorisé par la diminution constante du taux de couverture des conventions collectives et l’absence d’un salaire minimum obligatoire. En conséquence, l’évolution générale des salaires a été stagnante.
o En France, l’évolution des salaires réels a été globalement plus élevée qu’en Allemagne, bien que trop faible et avec de fortes disparités : l’évolution du SMIC a provoqué mécaniquement une augmentation des plus bas salaires mais aussi un tassement des premiers niveaux des grilles de branche professionnelle et du traitement des fonctionnaires autour du niveau du SMIC. Dans la même période, les plus hauts salaires s’envolaient et les salaires moyens stagnaient.
· Le financement de la protection sociale et des services publics est très différent entre les deux pays : pour les salaires moyens et bas, les Allemands payent moins de cotisations sociales mais nettement plus d’impôts que les Français.
· Dans la dernière décennie, la croissance allemande s’est presque uniquement basée sur des excédents croissants des exportations. Ce « modèle » ne peut être simplement généralisé à l’ensemble de l’Union. Poursuivre un tel objectif ne ferait qu’exacerber les concurrences entre Etats membres, ce qui intensifierait le dumping salarial et social généralisé. L’équilibre des échanges économiques dans l’Union exige une relance de la consommation intérieure en Allemagne et un renforcement des capacités exportatrices des pays en déficit commercial comme la France.
Ces constats démontrent à quel point les politiques préconisées par Angela Merkel et Nicolas Sarkozy conduisent à l’impasse : l’austérité généralisée, avec les mêmes recettes appliquées à tous les pays d’Europe (au moins ceux de l’Eurozone) ne peut conduire qu’à aggraver les déséquilibres, dégrader la conjoncture économique et les conditions sociales, et aboutir à la récession et à la généralisation du chômage, de la précarité et de la pauvreté. C’est surtout la jeunesse qui est concernée. Si l’Europe n’est pas en mesure de créer des perspectives pour sa jeunesse, elle sera confrontée dans de nombreux pays au risque « d’une génération perdue ».
Nous sommes profondément convaincus que l’Europe doit changer de cap pour résoudre la crise. Pour ce faire, il est urgent de prendre des initiatives suivantes :
1. Développer l’UE de façon démocratique et transparente
Nous refusons catégoriquement qu’une modification des Traités ne serve qu’à renforcer le Pacte de la stabilité et de croissance (PSC). Si une modification doit avoir lieu, elle doit servir l’intégration nécessaire dans le domaine de la politique économique, fiscale, financière et sociale. Cette dernière doit être définitivement ancrée dans les Traités. La clause de progrès social de même poids et de même rang que le PSC, revendiquée depuis longtemps par la CES et l’ensemble du syndicalisme européen, doit engager l’Europe dans la garantie des droits sociaux fondamentaux. La négociation collective doit être respectée, sans intervention des institutions politiques européennes ou nationales. Le pacte de stabilité et de croissance doit être tourné vers la croissance et non sur la seule maitrise des déficits publics.
En tant que mouvement syndical européen, nous considérons que la prise de décisions dans l’UE doit suivre la méthode communautaire avec une démocratie renforcée.
Nous appelons les dirigeants européens à faire vivre le débat démocratique et à associer les citoyens via les parlements et le débat avec les partenaires sociaux, ainsi qu’à plus de vigilance sur des dérives qui ne peuvent que nourrir le vote vers des mouvements extrémistes, nationalistes ou populistes.
2. Relancer l’économie et favoriser la négociation collective
Il faut revoir la répartition des richesses. La rémunération excessive du capital et la financiarisation de l’économie que l’on constate depuis de trop nombreuses années a contribué à nourrir des bulles spéculatives et entravé le fonctionnement de l’économie réelle. Au-delà de la nécessaire régulation financière, depuis très longtemps revendiquée par le syndicalisme, il faut réorienter la répartition des richesses vers l’investissement productif, l’emploi et les revenus du travail.
Une telle réorientation doit être adaptée aux différentes situations dans chaque pays et secteur économique. C’est une des raisons qui justifient la nécessité d’impliquer les représentants des syndicats de salariés et des employeurs, et de favoriser la négociation collective. La tendance, constatée dans de nombreux pays européens, à la baisse des taux de couverture par des accords collectifs, doit être inversée. Les droits sociaux fondamentaux, en particulier ceux de s’organiser collectivement et de négocier, doivent être garantis, alors que la crise sert trop souvent de prétexte à leur mise en cause.
En fonction du contexte économique et social de chaque pays et dans un cadre négocié, la relance de la demande intérieure doit contribuer à la croissance. Elle doit passer en priorité par la lutte contre les inégalités et la précarité, ainsi que la garantie de salaires décents pour tous. Mais pour une relance économique sur le long terme, l’Europe a besoin d’un projet d’avenir, avec des investissements en faveur du développement durable, ainsi que d’un plan Marshall pour les pays souffrant de la crise qui fasse le lien entre les enjeux présents et futurs (recherche-développement, innovation, éducation, services publics de qualité, …).
Les investissements prioritaires doivent porter sur l’efficacité énergétique des bâtiments, les énergies renouvelables et les machines et installations à faible consommation d’énergie, ainsi que sur des projets d’infrastructure paneuropéens soutenant le développement durable.
L’investissement immatériel au niveau de la formation initiale et continue, de la recherche et de l’innovation est également essentiel.
3. Exclure le dumping fiscal
Afin de juguler efficacement la concurrence fiscale en Europe, nous avons besoin d’une politique fiscale commune de la zone Euro et harmonisée au niveau européen, basée sur une harmonisation de l’assiette de l’impôt sur les sociétés et la fixation d’un taux minimum d’impôts applicable au niveau européen. Aucun pays ne doit pouvoir utiliser le dumping fiscal comme politique concurrentielle aux dépens des autres. Selon le principe « des épaules plus fortes doivent plus fortement contribuer à l’intérêt général » les systèmes fiscaux doivent favoriser une distribution équitable des revenus et fortunes et ne doivent pas aggraver les inégalités.
L’introduction d’une taxe européenne sur les transactions financières doit servir à contribuer au développement, à juguler les spéculations et à créer des recettes supplémentaires.
4. Renforcer la capacité d’agir de la Banque Centrale Européenne et lancer des euro-obligations
La modification de Traités nécessaire pour améliorer la gouvernance économique doit renforcer la capacité d’action de la BCE pour lui permettre d’intervenir comme prêteur en dernier ressort.
De plus, pour mettre fin aux spéculations concernant les obligations de certains pays de la zone Euro et pour créer plus de solidarité dans l’ensemble de la zone, nous exigeons le lancement d’obligations communes (Euro-obligations).
Nous réaffirmons que la finance doit être re-réglementée pour empêcher la spéculation et obliger les banques à revenir à leur rôle fondamental de financement de l’économie productive. La marge de manœuvre des agences de notation doit être considérablement diminuée, notamment par l’interdiction de notation de pays faisant l’objet d’une aide internationale.
C’est dans ce cadre que ce forum syndical franco-allemand, réuni à Berlin les 1er et 2 décembre, a décidé de publier cette déclaration commune en faveur d’un changement de cap en Europe.
A partir de l’analyse comparée des situations de l’Allemagne et de la France, nous avons fait les constats suivants :
· Les évolutions salariales au cours des 10 dernières années ont été nettement différentes dans nos deux pays :
o En Allemagne, les décisions politiques, en particulier les réformes du marché du travail, ont conduit au développement d’un secteur de plus en plus large de bas salaires, favorisé par la diminution constante du taux de couverture des conventions collectives et l’absence d’un salaire minimum obligatoire. En conséquence, l’évolution générale des salaires a été stagnante.
o En France, l’évolution des salaires réels a été globalement plus élevée qu’en Allemagne, bien que trop faible et avec de fortes disparités : l’évolution du SMIC a provoqué mécaniquement une augmentation des plus bas salaires mais aussi un tassement des premiers niveaux des grilles de branche professionnelle et du traitement des fonctionnaires autour du niveau du SMIC. Dans la même période, les plus hauts salaires s’envolaient et les salaires moyens stagnaient.
· Le financement de la protection sociale et des services publics est très différent entre les deux pays : pour les salaires moyens et bas, les Allemands payent moins de cotisations sociales mais nettement plus d’impôts que les Français.
· Dans la dernière décennie, la croissance allemande s’est presque uniquement basée sur des excédents croissants des exportations. Ce « modèle » ne peut être simplement généralisé à l’ensemble de l’Union. Poursuivre un tel objectif ne ferait qu’exacerber les concurrences entre Etats membres, ce qui intensifierait le dumping salarial et social généralisé. L’équilibre des échanges économiques dans l’Union exige une relance de la consommation intérieure en Allemagne et un renforcement des capacités exportatrices des pays en déficit commercial comme la France.
Ces constats démontrent à quel point les politiques préconisées par Angela Merkel et Nicolas Sarkozy conduisent à l’impasse : l’austérité généralisée, avec les mêmes recettes appliquées à tous les pays d’Europe (au moins ceux de l’Eurozone) ne peut conduire qu’à aggraver les déséquilibres, dégrader la conjoncture économique et les conditions sociales, et aboutir à la récession et à la généralisation du chômage, de la précarité et de la pauvreté. C’est surtout la jeunesse qui est concernée. Si l’Europe n’est pas en mesure de créer des perspectives pour sa jeunesse, elle sera confrontée dans de nombreux pays au risque « d’une génération perdue ».
Nous sommes profondément convaincus que l’Europe doit changer de cap pour résoudre la crise. Pour ce faire, il est urgent de prendre des initiatives suivantes :
1. Développer l’UE de façon démocratique et transparente
Nous refusons catégoriquement qu’une modification des Traités ne serve qu’à renforcer le Pacte de la stabilité et de croissance (PSC). Si une modification doit avoir lieu, elle doit servir l’intégration nécessaire dans le domaine de la politique économique, fiscale, financière et sociale. Cette dernière doit être définitivement ancrée dans les Traités. La clause de progrès social de même poids et de même rang que le PSC, revendiquée depuis longtemps par la CES et l’ensemble du syndicalisme européen, doit engager l’Europe dans la garantie des droits sociaux fondamentaux. La négociation collective doit être respectée, sans intervention des institutions politiques européennes ou nationales. Le pacte de stabilité et de croissance doit être tourné vers la croissance et non sur la seule maitrise des déficits publics.
En tant que mouvement syndical européen, nous considérons que la prise de décisions dans l’UE doit suivre la méthode communautaire avec une démocratie renforcée.
Nous appelons les dirigeants européens à faire vivre le débat démocratique et à associer les citoyens via les parlements et le débat avec les partenaires sociaux, ainsi qu’à plus de vigilance sur des dérives qui ne peuvent que nourrir le vote vers des mouvements extrémistes, nationalistes ou populistes.
2. Relancer l’économie et favoriser la négociation collective
Il faut revoir la répartition des richesses. La rémunération excessive du capital et la financiarisation de l’économie que l’on constate depuis de trop nombreuses années a contribué à nourrir des bulles spéculatives et entravé le fonctionnement de l’économie réelle. Au-delà de la nécessaire régulation financière, depuis très longtemps revendiquée par le syndicalisme, il faut réorienter la répartition des richesses vers l’investissement productif, l’emploi et les revenus du travail.
Une telle réorientation doit être adaptée aux différentes situations dans chaque pays et secteur économique. C’est une des raisons qui justifient la nécessité d’impliquer les représentants des syndicats de salariés et des employeurs, et de favoriser la négociation collective. La tendance, constatée dans de nombreux pays européens, à la baisse des taux de couverture par des accords collectifs, doit être inversée. Les droits sociaux fondamentaux, en particulier ceux de s’organiser collectivement et de négocier, doivent être garantis, alors que la crise sert trop souvent de prétexte à leur mise en cause.
En fonction du contexte économique et social de chaque pays et dans un cadre négocié, la relance de la demande intérieure doit contribuer à la croissance. Elle doit passer en priorité par la lutte contre les inégalités et la précarité, ainsi que la garantie de salaires décents pour tous. Mais pour une relance économique sur le long terme, l’Europe a besoin d’un projet d’avenir, avec des investissements en faveur du développement durable, ainsi que d’un plan Marshall pour les pays souffrant de la crise qui fasse le lien entre les enjeux présents et futurs (recherche-développement, innovation, éducation, services publics de qualité, …).
Les investissements prioritaires doivent porter sur l’efficacité énergétique des bâtiments, les énergies renouvelables et les machines et installations à faible consommation d’énergie, ainsi que sur des projets d’infrastructure paneuropéens soutenant le développement durable.
L’investissement immatériel au niveau de la formation initiale et continue, de la recherche et de l’innovation est également essentiel.
3. Exclure le dumping fiscal
Afin de juguler efficacement la concurrence fiscale en Europe, nous avons besoin d’une politique fiscale commune de la zone Euro et harmonisée au niveau européen, basée sur une harmonisation de l’assiette de l’impôt sur les sociétés et la fixation d’un taux minimum d’impôts applicable au niveau européen. Aucun pays ne doit pouvoir utiliser le dumping fiscal comme politique concurrentielle aux dépens des autres. Selon le principe « des épaules plus fortes doivent plus fortement contribuer à l’intérêt général » les systèmes fiscaux doivent favoriser une distribution équitable des revenus et fortunes et ne doivent pas aggraver les inégalités.
L’introduction d’une taxe européenne sur les transactions financières doit servir à contribuer au développement, à juguler les spéculations et à créer des recettes supplémentaires.
4. Renforcer la capacité d’agir de la Banque Centrale Européenne et lancer des euro-obligations
La modification de Traités nécessaire pour améliorer la gouvernance économique doit renforcer la capacité d’action de la BCE pour lui permettre d’intervenir comme prêteur en dernier ressort.
De plus, pour mettre fin aux spéculations concernant les obligations de certains pays de la zone Euro et pour créer plus de solidarité dans l’ensemble de la zone, nous exigeons le lancement d’obligations communes (Euro-obligations).
Nous réaffirmons que la finance doit être re-réglementée pour empêcher la spéculation et obliger les banques à revenir à leur rôle fondamental de financement de l’économie productive. La marge de manœuvre des agences de notation doit être considérablement diminuée, notamment par l’interdiction de notation de pays faisant l’objet d’une aide internationale.
mardi 20 décembre 2011
vendredi 16 décembre 2011
S&P : triple C... ?
Diffusion aux adhérents CFDT d'une information sur la situation du Groupe au 16 décembre 2011 (communiqué de S&P, communiqué de Groupama en réponse à l'abaissement de la note de Groupama par l'agence de notation S&P, synthèse de l'intervention de T.Martel et C. Collin devant une partie des cadres de Groupama SA le 10/12).
Comptes de la CFDT : toutes les fédérations de la CFDT ont fait certifier et publier leurs comptes
Comme la loi de 2008 le prévoit, les quinze fédérations professionnelles de la CFDT se sont conformées à l’obligation de publier leurs comptes au Journal Officiel.
Elles couvrent les secteurs suivants : banques et assurances, chimie et énergie, arsenaux de l'État, formation et enseignement privés, transports-équipements, agroalimentaire, mines et métallurgie, finances et affaires économiques, construction-bois, communication conseil culture, Interco, protection sociale, santé et services sociaux, services et Éducation nationale.
L’ensemble des comptes de la confédération et des fédérations ont été certifiés sans réserve par des commissaires aux comptes, qui sont des auxiliaires de justice. Ces comptes sont disponibles sur le site du Journal Officiel.
Il s’agit du meilleur démenti que la CFDT puisse opposer face aux attaques et allégations sans fondement sur la transparence de ses comptes.
Comme le prévoit la loi, les vingt-deux unions régionales interprofessionnelles de la CFDT publieront leurs comptes certifiés au cours de l’année 2012.
Elles couvrent les secteurs suivants : banques et assurances, chimie et énergie, arsenaux de l'État, formation et enseignement privés, transports-équipements, agroalimentaire, mines et métallurgie, finances et affaires économiques, construction-bois, communication conseil culture, Interco, protection sociale, santé et services sociaux, services et Éducation nationale.
L’ensemble des comptes de la confédération et des fédérations ont été certifiés sans réserve par des commissaires aux comptes, qui sont des auxiliaires de justice. Ces comptes sont disponibles sur le site du Journal Officiel.
Il s’agit du meilleur démenti que la CFDT puisse opposer face aux attaques et allégations sans fondement sur la transparence de ses comptes.
Comme le prévoit la loi, les vingt-deux unions régionales interprofessionnelles de la CFDT publieront leurs comptes certifiés au cours de l’année 2012.
jeudi 15 décembre 2011
S&P abaisse la note de Groupama à BBB-
Paris (source : les Echos - 15/12/11). La note à long terme n'est plus qu'à un cran de la catégorie spéculative.
Standard & Poor's a mis sa menace à exécution. L'agence de notation vient de dégrader une nouvelle fois la note à long terme de Groupama, moins d'une semaine après l'avoir placée sous surveillance négative. Après avoir envisagé de l'abaisser de deux crans, S&P l'a finalement fait passer de « BBB » à « BBB- », soit juste au-dessus de la catégorie spéculative. La note de Groupama GAN Vie, qui rassemble les activités d'assurance-vie, bascule, elle, en catégorie spéculative, passant de « BBB » à « BB+ », soit un cran en-dessous de la note de la maison mère. Ces nouvelles notes restent sous surveillance avec implication négative.
S&P justifie sa décision en estimant que les fonds propres et la solvabilité de Groupama sont, selon lui, « à de faibles niveaux » dans le contexte actuel de marchés financiers, « en dépit des actions stratégiques que la compagnie a annoncées ». L'assureur a signé mardi 13 décembre un protocole d'accord avec la Caisse des Dépôts et Consignations(CDC), portant sur la foncière cotée Silic et sur GAN Eurocourtage.
La CDC reprendra les 44 % détenus par Groupama dans Silic et injectera 300 millions d'euros dans la filiale GAN Eurocourtage, contre des actions de préférence. Cette double opération devrait permettre de faire gagner 18 à 19 points de marge de solvabilité à Groupama. « Même si les bénéfices de cette transaction sont entièrement répercutés dans la marge de solvabilité à fin 2011 », l'agence maintient la note sous surveillance, au vu des risques d'exécution « liées aux actions stratégiques restantes que le management pourrait prendre pour restaurer les ratios réglementaires de solvabilité ». Elle pourra abaisser ou confirmer la note selon que Groupama exécute avec succès ou non ces actions. Réponse dans les 90 jours.
Dimanche dernier, Thierry Martel, le nouveau directeur général de l'assureur mutualiste, avait vivement réagi à la mise sous surveillance négative par S&P. « Ce process est incompréhensible. Les circonstances de cette décision nous intriguent », avait-il déclaré au « JDD », accusant les agences de notation de « tyranniser les entreprises ». Fin septembre, Standard & Poor's avait abaissé la note de Groupama de « BBB + » à « BBB »-imité quelques jours plus tard par Fitch.
Les dirigeants de Groupama avaient affirmé lors d'un comité central d'entreprise qui s'est tenu jeudi 7 décembre que le groupe passerait le cap de l'année 2011 au regard des exigences du régulateur, suite à différentes ventes d'actifs financiers ces dernières semaines. L'assureur a notamment réalisé 400 millions d'euros de plus-values sur la vente d'OAT.
Vendredi dernier, S&P avait également placé 15 autres grands assureurs européens sous surveillance avec implication négative, dont les français AXA et CNP Assurances, l'allemand Allianz, le britannique Aviva et l'italien Generali.
Standard & Poor's a mis sa menace à exécution. L'agence de notation vient de dégrader une nouvelle fois la note à long terme de Groupama, moins d'une semaine après l'avoir placée sous surveillance négative. Après avoir envisagé de l'abaisser de deux crans, S&P l'a finalement fait passer de « BBB » à « BBB- », soit juste au-dessus de la catégorie spéculative. La note de Groupama GAN Vie, qui rassemble les activités d'assurance-vie, bascule, elle, en catégorie spéculative, passant de « BBB » à « BB+ », soit un cran en-dessous de la note de la maison mère. Ces nouvelles notes restent sous surveillance avec implication négative.
S&P justifie sa décision en estimant que les fonds propres et la solvabilité de Groupama sont, selon lui, « à de faibles niveaux » dans le contexte actuel de marchés financiers, « en dépit des actions stratégiques que la compagnie a annoncées ». L'assureur a signé mardi 13 décembre un protocole d'accord avec la Caisse des Dépôts et Consignations(CDC), portant sur la foncière cotée Silic et sur GAN Eurocourtage.
La CDC reprendra les 44 % détenus par Groupama dans Silic et injectera 300 millions d'euros dans la filiale GAN Eurocourtage, contre des actions de préférence. Cette double opération devrait permettre de faire gagner 18 à 19 points de marge de solvabilité à Groupama. « Même si les bénéfices de cette transaction sont entièrement répercutés dans la marge de solvabilité à fin 2011 », l'agence maintient la note sous surveillance, au vu des risques d'exécution « liées aux actions stratégiques restantes que le management pourrait prendre pour restaurer les ratios réglementaires de solvabilité ». Elle pourra abaisser ou confirmer la note selon que Groupama exécute avec succès ou non ces actions. Réponse dans les 90 jours.
Dimanche dernier, Thierry Martel, le nouveau directeur général de l'assureur mutualiste, avait vivement réagi à la mise sous surveillance négative par S&P. « Ce process est incompréhensible. Les circonstances de cette décision nous intriguent », avait-il déclaré au « JDD », accusant les agences de notation de « tyranniser les entreprises ». Fin septembre, Standard & Poor's avait abaissé la note de Groupama de « BBB + » à « BBB »-imité quelques jours plus tard par Fitch.
Les dirigeants de Groupama avaient affirmé lors d'un comité central d'entreprise qui s'est tenu jeudi 7 décembre que le groupe passerait le cap de l'année 2011 au regard des exigences du régulateur, suite à différentes ventes d'actifs financiers ces dernières semaines. L'assureur a notamment réalisé 400 millions d'euros de plus-values sur la vente d'OAT.
Vendredi dernier, S&P avait également placé 15 autres grands assureurs européens sous surveillance avec implication négative, dont les français AXA et CNP Assurances, l'allemand Allianz, le britannique Aviva et l'italien Generali.
Rapport Perruchot : heureusement que le ridicule ne tue pas.

Des députés qui ont voté contre un rapport mais qui veulent le publier, d’autres qui se sont abstenus et qui le refusent, d’autres encore qui ont voté pour et qui le commentent publiquement en toute illégalité… La décision du chef des députés de proposer un débat sur un document qui officiellement n’existe pas, en rajoute au trouble.
Face à ces comportements, comment ne pas s’interroger sur les raisons de la non-publication de ce rapport, alors que les partenaires sociaux se sont largement prononcés pour ?
La CFDT réaffirme qu’elle est prête à venir s’expliquer publiquement devant la commission des Affaires sociales… rapport à l’appui ! Depuis des années, elle publie ses comptes et les fait certifier. Elle ne peut accepter que l’on jette ainsi le doute sur son fonctionnement.
Alors que la commission a expressément exigé le secret de la part des personnes auditées, la presse publie les commentaires de membres de la commission d’enquête parlementaire.
La CFDT confirme qu’elle va porter plainte contre les personnes qui ont diffusé le document. Elle la retirera s’il venait enfin à être rendu public.
La CFDT va aussi demander à rencontrer le groupe du Nouveau centre à l’Assemblée nationale afin de discuter du projet de loi sur le financement des partenaires sociaux.
mardi 13 décembre 2011
NAO 2012 à Groupama Nord-Est
Diffusion aux adhérents du compte rendu CFDT de la négociation salaires 2012 à Groupama Nord-Est (13 décembre 2012). Consultation des adhérents CFDT : réponse à retourner avant le mardi 20 décembre.
lundi 12 décembre 2011
Ils ont investi dans un fonds "Madoff" !
Liliane Bettencourt, Sénat, Comité olympique... "La Tribune" (11/12/11) s'est procuré la liste des organismes, sociétés financières et holdings qui ont investi dans le fonds "Luxalpha", une sicav de droit luxembourgeois "madoffée". Ainsi que les montants confiés... (...)
Dans cette liste figure : Agrica Epargne pour 30,35 millions d'euros, Groupama Centre Atlantique pour 11,16 millions d'euros, La Mondiale pour 32,86 millions d'euros, la Macif pour 27,81 millions d'euros, etc ...
la citation du jour : "Il paraît que la crise rend les riches plus riches et les pauvres plus pauvres. Je ne vois pas en quoi c'est une crise. Depuis que je suis petit, c'est comme ça.". Coluche - 1944-1986 - Extrait du sketch "Le chômeur"
Dans cette liste figure : Agrica Epargne pour 30,35 millions d'euros, Groupama Centre Atlantique pour 11,16 millions d'euros, La Mondiale pour 32,86 millions d'euros, la Macif pour 27,81 millions d'euros, etc ...
la citation du jour : "Il paraît que la crise rend les riches plus riches et les pauvres plus pauvres. Je ne vois pas en quoi c'est une crise. Depuis que je suis petit, c'est comme ça.". Coluche - 1944-1986 - Extrait du sketch "Le chômeur"
dimanche 11 décembre 2011
Standard & Poor's, Fitch, Moody's : triple ... quoi ?

L'agence de notation envisage d'abaisser la note de Groupama jusqu'à deux crans. Un scénario qui ferait basculer la notation à BB+, en catégorie spéculative.
Standard & Poor's a annoncé vendredi 8 décembre qu'elle plaçait sous surveillance négative la notation de Groupama à long terme, actuellement crédité d'un « BBB ». S&P espère pouvoir se prononcer la semaine prochaine sur une évolution de la note, qu'elle envisage d'abaisser jusqu'à deux crans. Un tel scénario ferait alors basculer la notation à BB+, c'est-à-dire en catégorie spéculative.
S&P pourrait prendre une telle mesure si elle avait l'impression que les négociations entre Groupama et la Caisse des Dépôts et Consignations sur unereprise des 44 % détenus par l'assureur dans la foncière cotée Silic ne pourraient se finaliser à court terme. L'agence précise par ailleurs évaluer les conséquences du plan stratégique élaboré par la direction pour redresser les finances du groupe.
La nouvelle équipe de direction générale de Groupama a affirmé lors d'un comité centrale d'entreprise qui s'est tenu jeudi 7 décembre que le groupe passerait le cap de l'année 2011 au regard des exigences du régulateur, suite à différentes ventes d'actifs financiers. Le groupe mutualiste a notamment réalisé dernièrement des plus-values en cédant des obligations d'entreprise et des biens immobiliers. Il a également préférer vendre des actions à perte, plutôt que d'avoir à passer des provisions pour dépréciation durable dans ses comptes annuels, comme l'a indiqué un élu aux « Echos ». Groupama SA s'est également donné un peu d'air avec l'augmentation de capital de 500 millions d'euros apportée par les caisses régionales, qui se fera finalement dès 2011 alors qu'elle était initialement prévue pour le premier semestre 2012.
Fin septembre, Standard & Poor's avait déjà abaissé la note de Groupama-de « BBB + » à « BBB »- imité quelques jours plus tard par Fitch, qui a dégradé la note de solidité financière de « A- » à « BBB ».
Paris le 9/12/12 (source : la Tribune). Plusieurs assureurs placés sous surveillance négative, Groupama pourrait basculer en "junk bond"
S&P envisage d'abaisser la note de l'assureur jusqu'à deux crans. L'agence place également sous surveillance négative Allianz, Aviva, Axa, Generali, CNP Assurances...
L'agence d'évaluation financière Standard and Poor's (S&P) envisage d'abaisser jusqu'à deux crans la note de l'assureur mutualiste Groupama SA, s'inquiétant de l'affaiblissement de sa situation financière, selon un communiqué publié vendredi.
Un abaissement de deux crans, de "BBB" actuellement à "BB+", ferait basculer Groupama dans la catégorie dite spéculative, qu'évitent certains investisseurs. S&P prévoit de se déterminer quant à l'évolution de la note de l'assureur dès la semaine prochaine, selon le communiqué.
L'agence craint que "la situation financière et le niveau de solvabilité réglementaire ne soient davantage affaiblis dans un contexte de marché très difficile, au point qu'ils ne soient plus compatibles avec une note BBB".
S&P mentionne notamment l'effacement de 50% de la valeur des obligations d'Etat grecques et les provisions liées aux participations de Groupama dans des institutions financières, comme Société Générale (dont l'assureur détient 4,25% du capital).
L'agence indique évaluer actuellement les conséquences du plan stratégique élaboré par la direction pour redresser les finances du groupe.
S&P s'intéresse en particulier à l'issue des négociations en cours avec la Caisse des dépôts concernant la cession de la participation de Groupama dans la foncière Silic (44%).
Si l'agence venait à considérer que ces négociations ne trouveront pas de conclusion à court terme, elle pourrait abaisser la note de Groupama de deux crans.
L'affaiblissement de la situation financière de Groupama depuis l'été a entraîné la révocation du directeur général Jean Azéma fin octobre.
Groupama solvable au 31 décembre
L'assureur mutualiste Groupama a assuré les représentants du personnel de sa solvabilité au 31 décembre, date de clôture des comptes, a indiqué vendredi une source proche du dossier.
Contacté, Groupama n'a pas souhaité commenter.
Cette information confirme celle publiée par L'Argus de l'assurance, selon qui l'équipe dirigeante a indiqué aux syndicats jeudi lors d'un comité central d'entreprise que le groupe "passerait le cap de l'année 2011", c'est-à-dire que sa marge de solvabilité (niveau de solvabilité par rapport à celui requis par le régulateur) serait supérieure à 100%.
L'agence d'évaluation financière Standard and Poor's (S&P) a annoncé vendredi qu'elle envisageait d'abaisser jusqu'à deux crans la note de l'assureur, s'inquiétant de l'affaiblissement de sa situation financière.
Un abaissement de deux crans, de "BBB" actuellement à "BB+", ferait basculer Groupama dans la catégorie dite spéculative, qu'évitent certains investisseurs. S&P prévoit de se déterminer quant à l'évolution de la note de l'assureur dès la semaine prochaine, selon un communiqué.$
Autres assureurs dans le collimateur
Par ailleurs, Standard & Poor's annonce ce soir placer sous surveillance avec implication négative plusieurs assureurs européens, décision qui fait suite à celle de placer 15 des 17 pays de la zone euro également sous surveillance négative.
"En fonction du résultat de notre examen des notes des pays membres de la zone euro, les notes à long terme de ces assureurs pourraient être abaissées d'un ou deux crans et les notes à court terme de certains d'entre eux pourraient être abaissées d'un cran", explique S&P.
Parmi les assureurs concernés : Allianz (Euler Hermes inclus), Aviva, Axa, Generali, Caisse Centrale de Réassurance, et CNP Assurances.
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