CFDT Groupama Nord-Est


mercredi 4 avril 2012

Avenants à l'ANG

Diffusion aux adhérents CFDT d'une information relative à la négociation d'avenants  modifiant l'Accord National Groupama (évolution de l’allocation d’éducation  (article 30)  et des congés familiaux (article 43-2 )). Afin de résumer ces modifications, la délégation CFDT a réalisé un tableau qui synthétise les débats entre ce que voulait la CFDT et ce qu’elle a obtenu.
Diffusion également d'une information relative à deux drames survenus à Groupama Paris Val de Loire et Groupama d'Oc

mercredi 28 mars 2012

Le chômage progresse toujours

Les chiffres du chômage de février viennent d’être publiés. Ils montrent que le chômage augmente toujours. C’est la conséquence de l’absence de reprise économique et d’une politique de l’emploi inefficace. Les effets de la crise sont toujours là et les salariés en supportent toujours les conséquences.

Ces chiffres indiquent également que de plus en plus de personnes se trouvent dans des situations de grande précarité.

C’est particulièrement vrai pour les plus de 50 ans (+1,4 % en un mois, soit 15,3 % de plus depuis un an).

La CFDT demande que les moyens de Pôle emploi en direction des personnes les plus en difficulté soient accentués, notamment les jeunes, les seniors et les salariés les moins qualifiés

mardi 27 mars 2012

Représentativité syndicale nationale à Groupama (périmètre mutualiste) au 16 mars 2012

CFDT : 40,01 %
Unsa : 15,74 %
Cgc : 14,24 %
Fo : 12,91 %
Cgt : 12 %
Cftc : 4,49 %
Autres : 0,61 %

vendredi 23 mars 2012

Les élus du CCE UES Groupama Gan s'adressent au Conseil d'administration de Groupama SA

Diffusion aux adhérents CFDT du courrier adressé par les élus du CCE de l'UES Groupama Gan aux administrateurs de Groupama SA.

mercredi 21 mars 2012

Retraites complémentaires : le pouvoir d’achat est préservé

La commission paritaire de l’Agirc-Arrco a décidé ce 20 mars une revalorisation de 2,30% des pensions des régimes complémentaires de retraites au 1er avril 2012.
Cette revalorisation suivra ainsi l’évolution des prix à la consommation comme prévu par l’accord signé en 2011 par les partenaires sociaux.
L’action de la CFDT a été déterminante pour convaincre l’ensemble des organisations patronales et syndicales, à l’exception de la CGT, de la nécessité d’appliquer intégralement l’accord paritaire. Le patronat demandait ainsi depuis plusieurs semaines une revalorisation inférieure à l’inflation pour 2012.
Cette revalorisation s’appliquera à tous les retraités du secteur privé, qui perçoivent une pension de l’Arrco, ainsi qu’aux retraités cadres qui reçoivent également une pension de l’Agirc.
Grâce à la CFDT et aux organisations signataires de l’accord de 2011, le pouvoir d’achat des retraites complémentaires de 11,5 millions de personnes sera préservé en 2012.

CNN du 21 mars 2012

Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu de la CNN du 21 mars 2012

vendredi 16 mars 2012

2011, c'est fini ! 2012 : retour aux fondamentaux mutualistes ?



Diffusion aux adhérents CFDT d'une information relative aux résultats 2011 du groupe et sur la cession de la filiale polonaise.

lundi 12 mars 2012

Réunion DRH / Syndicats à Groupama Nord-Est (13/3/12)

 A l'ordre du jour :
- Projet d'accord sur le maintien de salaire - Recueil des positions syndicales en séance
- Projet de protocole pré électoral 2013
- Point sur les horaires en agence
- Questions diverses
Un compte rendu CFDT a été adressé aux adhérents CFDT à l'issue de cette réunion.

jeudi 8 mars 2012

La transparence : une valeur mutualiste ?

Diffusion aux adhérents CFDT d'une interview de Jean Luc BAUCHEREL, Président de Groupama Loire Bretagne et du Conseil d'Administration de Groupama SA.
Cette interview a été publiée dans le journal Ouest France le 7 mars 2012 et sur le site Entreprises Ouest France , le site du journal Ouest France dédié à l'actualité des entreprises, le 6 mars. Il faut noter qu'une fin de réponse diffère entre l'édition papier et l'édition en ligne. Depuis hier après midi, les versions papier et internet sont identiques.Vous pourrez le constater en allant sur la page http://www.entreprises.ouest-france.fr/article/groupama-plus-dur-est-derriere-nous-06-03-2012-47228.
La première version de l'interview a été publiée sur le site le 06/03/2012, elle est donc antérieure à la version papier. La phrase « le groupe envisage de renforcer sa performance avec la constitution de plates-formes communes entre plusieurs caisses régionales, pour les sinistres notamment » a donc bien été prononcée par le Président, éditée en ligne puis modifiée dans la version papier puis sur le site.
Le Secrétaire du Comité de Groupe (JD Santoni (CFDT Groupama Méditerranée)) vient d'envoyer un courrier au Directeur Général, Thierry MARTEL, lui demandant quelques explications (copie du courrier diffusée aux adhérents CFDT).
Affaire à suivre...

mercredi 7 mars 2012

Situation du Groupe : le chaud et le froid (! ou ?)

Diffusion aux adhérents CFDT :
- d'une copie du mail du Directeur général de Groupama Loire Bretagne adressé aux collègues de cette caisse régionale,
- du texte des interviews de Thierry Martel (directeur général du Groupe) à Europe 1 et à la Chaine d'informations LCI,
- d'un article de l'Agefi quotidien sur la position sur Groupama de l'agence Standard & Poor's (!!!!),
- du compte rendu de la rencontre CFDT entre une délégation CFDT conduite par François CHEREQUE et le DRH Groupe.

vendredi 2 mars 2012

Dans l'Express ...

Diffusion aux adhérents CFDT d'un article du journal l'Express relatif à la situation du groupe Groupama.

mercredi 29 février 2012

CCE UES Groupama Gan (23/02/12)

Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu CFDT du CCE de l'UES Groupama Gan du 23 février.

mardi 28 février 2012

Dans la presse ....

Diffusion aux adhérents CFDT de deux articles de presse (Reuters et Figaro) relatifs à l'évolution de la stratégie de Groupama : la cotation boursière et l'objectif d'être dans les 10 premiers assureurs européens .... c'est fini !

Cotation boursière : suite et fin !

PARIS (source : Reuters) - L'assureur mutualiste Groupama, qui est confronté à des difficultés financières, a décidé de renoncer à son projet d'introduction en Bourse, déclare son directeur général Thierry Martel dans une interview au Figaro.
Le projet de mise en Bourse de la société française avait déjà été reporté à 2015 à l'automne dernier.
"Nous avons décidé de mettre un terme au projet de cotation du groupe", déclare Thierry Martel dans un entretien dans l'édition de mardi du quotidien, en expliquant que Groupama souhaite désormais privilégier une stratégie de performance plutôt qu'une stratégie de taille.
Thierry Martel, qui a pris la tête de l'assureur en automne dernier après la révocation de Jean Azéma, précise par ailleurs que les discussions en vue d'une cession de Gan Eurocourtage et de ses activités en Grande-Bretagne suivent leurs cours.
"Les deux opérations avancent normalement. Plusieurs candidats se sont manifestés et sont actuellement en data room", déclare-t-il, en confirmant que le choix du repreneur de Gan Eurocourtage sera annoncé le mois prochain.
Il se montre également confiant concernant la fusion de sa filiale Silic avec Icade, la société foncière de la Caisse des dépôts et consignations (CDC).
"J'ai toute confiance dans le succès de cette opération. Le prix auquel nous avons cédé notre participation correspond au prix de marché, comme le démontrent les études des experts", assure Thierry Martel, en réponse aux critiques d'actionnaires minoritaires s'estimant lésés par le prix de la transaction.
Ces opérations s'inscrivent dans le cadre du renflouement de l'assureur français dont la solvabilité financière a été mise à mal par une exposition supérieure à la moyenne aux actions et aux obligations d'Etats de la zone euro.
Contraint de passer d'importantes dépréciations en 2011, Groupama publiera des comptes dans le rouge le 16 mars prochain.
"Il faut (...) s'attendre, en raison de la baisse des marchés actions au second semestre 2011 et de notre forte exposition à la crise grecque à un résultat net déficitaire", explique le dirigeant.
"La crise grecque nous aura coûté un peu plus de 2 milliards d'euros. Par ailleurs, la chute des marchés actions au second semestre 2011 aura pesé à hauteur de 1,2 milliard sur les titres Société générale et à hauteur de 600 millions d'euros sur les titres Veolia", ajoute-t-il.

vendredi 24 février 2012

Groupama : le CE saisit le conseil d’administration, suite au rapport Secafi Alpha

source : l'Argus de l'Assurance.
Les conclusions du rapport du cabinet Secafi Alpha dans le cadre de la procédure de droit d’alerte lancée par les syndicats ont été présentées le 23 février dans l'après midi au cours du CCE (comité central d’entreprise) de l’UES Groupama/Gan qui a réunit Thierry Martel, directeur général et les instances syndicales. Selon nos informations, le comité d’entreprise a voté à l'unanimité la saisine du conseil d’administration de Groupama qui aura lieu en avril prochain.

Le rapport du cabinet d'expertise pointe notamment la politique de gestion menée entre les années 2008 et 2011, en soulignant les arbitrages qui ont fait défaut, comme le fait d’avoir conservé des actifs fragiles (notamment de la dette souveraine) et de ne pas avoir suffisamment réduit la voilure sur la ligne actions. Concernant la gouvernance, les experts ont relevé des « angles morts » : plusieurs instances décisionnelles ne travailleraient pas suffisamment de concert chez Groupama, avec un manque de partage d’informations entre les différents conseils d’administrations des caisses régionales et celui de la SA.

Enfin, et sans surprise, la politique d’investissement soutenue engagée par Groupama, notamment à l’international, a eu un coût avec un point d’équilibre difficile à trouver dans le temps. Le rapport indique également une difficulté particulière de l’assureur mutualiste en termes de « retour sur investissement ». Prochaine étape, le propre rapport du CCE qui sera remis à la direction générale lors du comité du 22 mars. "Nous attendons des réponses motivées du conseil d'aministration en espérant que toutes les ventes (Gan Eurocourtage, filiale au Royaume Uni) ne seront pas encore complètement entérinées", a indiqué un délégué CFDT.

mercredi 22 février 2012

UDSG / Syndicats Groupama (réunion du 22 février)

Diffusion aux adhérents du compte rendu CFDT de la réunion du 22 février entre l'UDGS et les organisations syndicales de Groupama

vendredi 17 février 2012

Élections Caisse des cadres de l'agriculture

Diffusion aux adhérents CFDT d'informations pour les élections à la Caisse des cadres du régime agricole

jeudi 16 février 2012

Rémunération variable 2011 à Groupama 51/08 (réseau et CRC)

Diffusion aux adhérents CFDT de la mise à jour du tableau relatif à l'évolution de la rémunération variable à Groupama Marne-Ardennes (de 2002 à 2011).

mercredi 15 février 2012

Situation du Groupe "Groupama" : communiqué CFDT


Diffusion aux adhérents CFDT d'un communiqué national CFDT Groupama relatif à la situation du Groupe au 15/2/12

mardi 14 février 2012

CCE Groupama Nord-Est du 14 février 2012

Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu CFDT de la réunion du CCE du 14 février 2012. Un premier point d'information sur le montant de l'intéressement (versé en juillet) dans ce compte rendu.

lundi 13 février 2012

"Entretiens économiques" (siège de la FFSA à Paris / 31 janvier 2012)

Diffusion aux adhérents CFDT du diaporama présenté lors de la réunion des "entretiens économiques" dans le cadre de la CCNSA (siège de la FFSA à Paris / 31 janvier 2012)

vendredi 10 février 2012

Autoformation CHSCT (Inrs)

Diffusion d'un module de 4 heures d’autoformation aux élus des CHSCT de GNE

jeudi 9 février 2012

Avenir du périmètre de Groupama et bilan NAO (périmètre mutualiste)

Diffusion aux adhérents CFDT d'un article du journal web "la Tribune" relatif au CCE de l'UES Groupama Gan du 8 février à Paris et de la synthèse des NAO (négociations annuelles obligatoires sur les salaires) dans le périmètre mutualiste de Groupama.

mercredi 8 février 2012

Représentativité ....

La Fédération Banques et Assurances CFDT a décidé d’adhérer à l’accord du 3 mars 1993 concernant les Cadres de Direction des sociétés d’assurance.

mardi 7 février 2012

Assurance chômage : l’Unedic doit demeurer un outil performant pour aider les demandeurs d’emploi

Ce mardi matin, l'Unedic a renouvelé son bureau en vertu de la règle de l’alternance entre syndicat et patronat à la présidence. Patricia Ferrand, de la CFDT, a été élue vice-présidente.

La CFDT se fixe trois priorités pour les deux prochaines années :
La mise en œuvre des accords d’assurance chômage et des autres accords financés via l’Unedic (contrat de sécurisation professionnelle, emploi des jeunes, Activité partielle de longue durée …) ;
Le pilotage et le suivi de la convention tripartite Etat-Unedic-Pôle emploi, qui définit les missions de Pôle emploi ;
L'appui des partenaires sociaux dans cadre du groupe paritaire assurance chômage.

Dans un contexte de crise, avec des records de chômage, les syndicats et les organisations patronales doivent assumer pleinement leur rôle.

Au cours de cette mandature, la CFDT veillera à ce que l’Unedic soit un outil performant pour lutter contre le chômage et aider les demandeurs d’emploi victimes de la crise, notamment les plus précaires et les chômeurs de longue durée.

vendredi 3 février 2012

Comité de Groupe Groupama Gan (26 janvier 12)

Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu CFDT du Comité de Groupe Groupama / Gan du 26 janvier (et de sa réunion préparatoire).

jeudi 2 février 2012

Retraite complémentaire : Jean-Paul Bouchet élu vice président de l’Agirc

Jean-Paul Bouchet, secrétaire général de la CFDT Cadres et membre du bureau national confédéral de la CFDT, a été élu aujourd’hui vice président de l’Agirc (Association générale des institutions de retraite des cadres).
Dans cette responsabilité, l’objectif de la CFDT, première organisation chez les cadres, est de mettre en œuvre l’accord du 18 mars 2011 sur les retraites complémentaires des salariés du privé et de consolider l’Agirc en poursuivant son harmonisation avec l’Arrco (Association pour le régime de retraite complémentaire des salariés).
Alors que l’équilibre financier des régimes est fragilisé par la crise et l’accroissement du chômage, l’accord de 2011 préserve le niveau des retraites complémentaires et fait converger positivement les droits familiaux.
A la présidence paritaire de l’Agirc, la CFDT continuera de s’engager pour la pérennité des régimes.
Les cadres, qui cotisent à l’Agirc ainsi qu’à l’Arrco, peuvent ainsi être confiants dans l’avenir de leur retraite complémentaire.

mardi 31 janvier 2012

Bilatérale CFDT Groupama / DRH Groupe (27/01/12)

Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu de la bilatérale CFDT Groupama / DRH Groupe du 27 janvier à Paris (avec notamment le nouveau DRH Groupe M. Heyries).

lundi 30 janvier 2012

Permanences syndicales CFDT à Groupama Nord-Est (ouvertes à tous) - 1er semestre 2012

Au local régional CFDT Groupama Nord-Est (03.26.82.47.67) à la Maison des agriculteurs / 4ème étage / immeuble restaurant d’entreprise de 9h30 à 12h30 :

- jeudi 9 février
- jeudi 22 mars
- jeudi 10 mai

Au local syndical Groupama Marne-Ardennes à Reims (esplanade Roland Garros) de 11h30 à 12h45 :

- vendredi 10 février
- vendredi 13 avril
- vendredi 8 juin

Pour un rendez-vous (hors jours des permanences), adresser un mail à : cfdt.gne@gmail.com

vendredi 27 janvier 2012

Bilatérale CFDT / UDSG à Paris (24/01/12)


Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu CFDT de la rencontre CFDT Groupama / UDSG (organisation patronale de Groupama) du 24 janvier 2012 à Paris.

lundi 23 janvier 2012

Avenir de Gan Eurocourtage et tract CFDT GNE

Diffusion aux adhérents CFDT :
- d'un tract CFDT Groupama / Gan (Paris) diffusé la veille du CCE de l'UES Groupama-Gan à Gan Eurocourtage le 19/01,
- d'un article de la Tribune du 23/1/12,
- d'une copie du tract CFDT Groupama Nord-Est qui sera diffusé à l'ensemble du personnel de GNE d'ici le 6 février

jeudi 19 janvier 2012

Sommet social - Des avancées utiles mais des inquiétudes qui persistent

La CFDT avait demandé la tenue d’un sommet social dès le mois d’août 2011 afin de préparer au plus vite une réponse adaptée aux difficultés prévisibles sur le front de l’emploi. Cinq mois plus tard, alors que ce sommet se tient enfin, la CFDT a insisté sur la nécessité de mettre en place des mesures de court-terme pour soutenir les salariés et les entreprises en difficulté.

Parmi les options retenues par le gouvernement, certaines mesures seront utiles :

Chômage partiel : le dispositif sera simplifié, 100 millions d’euros supplémentaires y seront affectés.
Former plutôt que licencier : l’État financera à hauteur de 40 millions d’euros de la formation pour les entreprises en mutation économique ;
Formation des demandeurs d’emploi : une enveloppe d’urgence de 150 millions d’euros sera allouée pour de la formation, des contrats aidés ou des prestations de retour à l’emploi et la rémunération de fin de formation sera prolongée ;
Les effectifs de Pôle emploi augmenteront de 1 000 postes (la CFDT en demandait le double).

Malgré ces décisions importantes, l’inquiétude de la CFDT persiste sur le financement de la protection sociale. La CFDT reste opposée à la mise en place de la TVA sociale. Une réflexion plus globale sur le financement de la protection sociale est nécessaire. Elle doit notamment avoir lieu au sein du Haut conseil pour le financement de la protection sociale

En ce qui concerne les mesures compétitivité-emploi, la CFDT demande que ce sujet soit intégré à la négociation en cours sur les instances représentatives du personnel (IRP).

mardi 17 janvier 2012

Temps partiel à Groupama Nord-Est.



Le taux d'activité pour les personnes travaillant à temps partiel - option : rythme scolaire - en 2012 sera de 69,96% (68,38% en 2011, 68,69% en 2010, 68,77% en 2009).

NAO, RMA et SMF

Diffusion aux adhérents CFDT :
- du tableau des NAO (Négociations Annuelles Obligatoires sur les salaires) des différentes entreprises de Groupama (périmètre UDSG) au 17 janvier 2012,
- des grilles de salaires applicables à Groupama au 1er janvier 2012.

lundi 16 janvier 2012

Temps de travail : la CFDT s’interroge sur l’étude COE Rexecode

La CFDT est surprise par les résultats de l’étude COE Rexecode. Elle s’interroge sur la viabilité des chiffres, d’autant que COE-Rexecode était déjà l’auteur d’un rapport très contesté sur le coût du travail ayant donné lieu à polémique sur la crédibilité de ses chiffres.

Les éléments avancés amènent plusieurs réflexions :
Le temps annuel effectif serait parmi les plus faibles d’Europe. Il n’est pas rigoureux de comparer des données annuelles entre pays du fait de la différence d’organisation du temps de travail : congés légaux et jours fériés différents, forfait jour qui n’existe qu’en France pour les cadres…
La durée de travail hebdomadaire paraît plus pertinente car elle exclut les différences de congés : elle montre selon Eurostat une proximité du nombre d’heures hebdomadaires pour un temps complet (40,6 h en Allemagne et 39,4 h en France).
L’étude montre que le nombre de salariés à temps partiels a augmenté de 7 % en Allemagne entre 1999 et 2010 alors qu’il a stagné en France. Conjugué à l’absence d’un Smic en Allemagne, la hausse du temps partiel participe à expliquer un accroissement plus élevé de la pauvreté en Allemagne et des inégalités de revenus entre les ménages.
La CFDT est surprise que la communication sur l’étude ne fasse pas ressortir un de ses enseignements liés aux différences de productivité du travail : l’étude montre que la richesse créée par heure de travail est de 42 € en France contre 36 en Allemagne.

Pour la CFDT, optimiser le temps de travail passe par les deux extrémités de la carrière : l’entrée dans la vie active pour les plus jeunes est souvent retardée, tandis que la sortie de vie active est souvent anticipée. Cela réduit le temps de travail tout au long de la vie et explique un taux d’emploi trop bas en France. Ce sont ces aspects qui doivent être notre priorité.

QVT à GNE et avenir de Gan Eurocourtage

Diffusion aux adhérents CFDT :
- des notes CFDT de la réunion de la commission QVT de Groupama Nord-Est du 10 janvier,
- d'un article de la Tribune sur l'avenir de Gan Eurocourtage.

jeudi 12 janvier 2012

Avenir de Gan Eurocourtage et de Groupama UK

Diffusion aux adhérents CFDT :
- du communiqué du groupe relatif à l'avenir de Gan Eurocourtage et de Groupama UK
- d'une information suite à la réunion du bureau du CCE de l'UES Groupama Gan du 11 janvier.

jeudi 5 janvier 2012

Grève des commerciaux à Groupama d'OC

Diffusion aux adhérents CFDT :
- du tract intersyndical de Groupama d'OC relatif à la grève des commerciaux (vendredi 6 janvier 2011),
- du courrier envoyé à la direction de Groupama d'OC,
- du compte rendu CFDT du CCE de l'UES Groupama Gan du 22/12/2011 (Paris)

mercredi 4 janvier 2012

Réunion Drh / Syndicats à GNE le 6 janvier

A l'ordre du jour :
- Signature de l'accord d'entreprise sur les salaires 2012
- Information sur la mise en oeuvre de l'accord national sur les garanties accidents et agressions corporelles des cadres et des non cadres
- Bilan 2010 et projection 2011 sur les résultats techniques du contrat Groupe CFS - tarifs 2012
- Projet de mise en oeuvre d'une garantie spécifique "maintien de salaire en cas de maladie"
- Point sur la mise en oeuvre de l'accord horaires des conseillers commerciaux sédentaires
- Elections professionnelles 2013 - position de l'Inspection du Travail et
calendrier de rédaction du protocole
- Questions diverses
- Ordre du jour de la réunion du 20 janvier 2012
Un compte rendu sera adressé aux adhérents à l'issue de la réunion.

Les NAO à Groupama Nord-Est depuis 2000

La CFDT Groupama Nord-Est est signataire de l'accord 2012 relatif aux augmentations collectives.

Résultat de la consultation des adhérents CFDT Groupama Nord-Est :
- pour la signature : 70,18%,
- contre la signature : 21,05%
- abstention : 8,77%


Cliquer sur les images ci-dessous pour les agrandir



SMF 2012 (négociation nationale, la CFDT n'est pas signataire - application unilatérale de l'UDSG):
Classe 1 : 18 655 €uros
Classe 2 : 19 628 €uros
Classe 3 : 22 313 €uros
Classe 4 : 26 484 €uros
Classe 5 : 31 230 €uros
Classe 6 : 40 989 €uros
Classe 7 : 54 339 €uros

mercredi 21 décembre 2011

Déclaration du 4ème Forum syndical franco- allemand (20/12/11)

Les organisations syndicales allemandes (DGB) et françaises (CFDT, CFTC, CGT, FO, UNSA) font partie de la famille syndicale européenne et revendiquent des solutions européennes. En raison du rôle particulier que la Chancelière Merkel et le Président Sarkozy jouent actuellement dans l’Union Européenne, elles considèrent de leur responsabilité d’apporter leur analyse sur la situation des deux pays et sur les propositions européennes de leurs plus hauts responsables politiques. Cette démarche s’inscrit dans l’action de la Confédération européenne des syndicats (CES) et se veut une contribution au débat interne de cette dernière.
C’est dans ce cadre que ce forum syndical franco-allemand, réuni à Berlin les 1er et 2 décembre, a décidé de publier cette déclaration commune en faveur d’un changement de cap en Europe.
A partir de l’analyse comparée des situations de l’Allemagne et de la France, nous avons fait les constats suivants :

· Les évolutions salariales au cours des 10 dernières années ont été nettement différentes dans nos deux pays :
o En Allemagne, les décisions politiques, en particulier les réformes du marché du travail, ont conduit au développement d’un secteur de plus en plus large de bas salaires, favorisé par la diminution constante du taux de couverture des conventions collectives et l’absence d’un salaire minimum obligatoire. En conséquence, l’évolution générale des salaires a été stagnante.
o En France, l’évolution des salaires réels a été globalement plus élevée qu’en Allemagne, bien que trop faible et avec de fortes disparités : l’évolution du SMIC a provoqué mécaniquement une augmentation des plus bas salaires mais aussi un tassement des premiers niveaux des grilles de branche professionnelle et du traitement des fonctionnaires autour du niveau du SMIC. Dans la même période, les plus hauts salaires s’envolaient et les salaires moyens stagnaient.
· Le financement de la protection sociale et des services publics est très différent entre les deux pays : pour les salaires moyens et bas, les Allemands payent moins de cotisations sociales mais nettement plus d’impôts que les Français.
· Dans la dernière décennie, la croissance allemande s’est presque uniquement basée sur des excédents croissants des exportations. Ce « modèle » ne peut être simplement généralisé à l’ensemble de l’Union. Poursuivre un tel objectif ne ferait qu’exacerber les concurrences entre Etats membres, ce qui intensifierait le dumping salarial et social généralisé. L’équilibre des échanges économiques dans l’Union exige une relance de la consommation intérieure en Allemagne et un renforcement des capacités exportatrices des pays en déficit commercial comme la France.
Ces constats démontrent à quel point les politiques préconisées par Angela Merkel et Nicolas Sarkozy conduisent à l’impasse : l’austérité généralisée, avec les mêmes recettes appliquées à tous les pays d’Europe (au moins ceux de l’Eurozone) ne peut conduire qu’à aggraver les déséquilibres, dégrader la conjoncture économique et les conditions sociales, et aboutir à la récession et à la généralisation du chômage, de la précarité et de la pauvreté. C’est surtout la jeunesse qui est concernée. Si l’Europe n’est pas en mesure de créer des perspectives pour sa jeunesse, elle sera confrontée dans de nombreux pays au risque « d’une génération perdue ».
Nous sommes profondément convaincus que l’Europe doit changer de cap pour résoudre la crise. Pour ce faire, il est urgent de prendre des initiatives suivantes :

1. Développer l’UE de façon démocratique et transparente

Nous refusons catégoriquement qu’une modification des Traités ne serve qu’à renforcer le Pacte de la stabilité et de croissance (PSC). Si une modification doit avoir lieu, elle doit servir l’intégration nécessaire dans le domaine de la politique économique, fiscale, financière et sociale. Cette dernière doit être définitivement ancrée dans les Traités. La clause de progrès social de même poids et de même rang que le PSC, revendiquée depuis longtemps par la CES et l’ensemble du syndicalisme européen, doit engager l’Europe dans la garantie des droits sociaux fondamentaux. La négociation collective doit être respectée, sans intervention des institutions politiques européennes ou nationales. Le pacte de stabilité et de croissance doit être tourné vers la croissance et non sur la seule maitrise des déficits publics.
En tant que mouvement syndical européen, nous considérons que la prise de décisions dans l’UE doit suivre la méthode communautaire avec une démocratie renforcée.
Nous appelons les dirigeants européens à faire vivre le débat démocratique et à associer les citoyens via les parlements et le débat avec les partenaires sociaux, ainsi qu’à plus de vigilance sur des dérives qui ne peuvent que nourrir le vote vers des mouvements extrémistes, nationalistes ou populistes.

2. Relancer l’économie et favoriser la négociation collective

Il faut revoir la répartition des richesses. La rémunération excessive du capital et la financiarisation de l’économie que l’on constate depuis de trop nombreuses années a contribué à nourrir des bulles spéculatives et entravé le fonctionnement de l’économie réelle. Au-delà de la nécessaire régulation financière, depuis très longtemps revendiquée par le syndicalisme, il faut réorienter la répartition des richesses vers l’investissement productif, l’emploi et les revenus du travail.
Une telle réorientation doit être adaptée aux différentes situations dans chaque pays et secteur économique. C’est une des raisons qui justifient la nécessité d’impliquer les représentants des syndicats de salariés et des employeurs, et de favoriser la négociation collective. La tendance, constatée dans de nombreux pays européens, à la baisse des taux de couverture par des accords collectifs, doit être inversée. Les droits sociaux fondamentaux, en particulier ceux de s’organiser collectivement et de négocier, doivent être garantis, alors que la crise sert trop souvent de prétexte à leur mise en cause.
En fonction du contexte économique et social de chaque pays et dans un cadre négocié, la relance de la demande intérieure doit contribuer à la croissance. Elle doit passer en priorité par la lutte contre les inégalités et la précarité, ainsi que la garantie de salaires décents pour tous. Mais pour une relance économique sur le long terme, l’Europe a besoin d’un projet d’avenir, avec des investissements en faveur du développement durable, ainsi que d’un plan Marshall pour les pays souffrant de la crise qui fasse le lien entre les enjeux présents et futurs (recherche-développement, innovation, éducation, services publics de qualité, …).
Les investissements prioritaires doivent porter sur l’efficacité énergétique des bâtiments, les énergies renouvelables et les machines et installations à faible consommation d’énergie, ainsi que sur des projets d’infrastructure paneuropéens soutenant le développement durable.
L’investissement immatériel au niveau de la formation initiale et continue, de la recherche et de l’innovation est également essentiel.

3. Exclure le dumping fiscal

Afin de juguler efficacement la concurrence fiscale en Europe, nous avons besoin d’une politique fiscale commune de la zone Euro et harmonisée au niveau européen, basée sur une harmonisation de l’assiette de l’impôt sur les sociétés et la fixation d’un taux minimum d’impôts applicable au niveau européen. Aucun pays ne doit pouvoir utiliser le dumping fiscal comme politique concurrentielle aux dépens des autres. Selon le principe « des épaules plus fortes doivent plus fortement contribuer à l’intérêt général » les systèmes fiscaux doivent favoriser une distribution équitable des revenus et fortunes et ne doivent pas aggraver les inégalités.
L’introduction d’une taxe européenne sur les transactions financières doit servir à contribuer au développement, à juguler les spéculations et à créer des recettes supplémentaires.

4. Renforcer la capacité d’agir de la Banque Centrale Européenne et lancer des euro-obligations

La modification de Traités nécessaire pour améliorer la gouvernance économique doit renforcer la capacité d’action de la BCE pour lui permettre d’intervenir comme prêteur en dernier ressort.
De plus, pour mettre fin aux spéculations concernant les obligations de certains pays de la zone Euro et pour créer plus de solidarité dans l’ensemble de la zone, nous exigeons le lancement d’obligations communes (Euro-obligations).
Nous réaffirmons que la finance doit être re-réglementée pour empêcher la spéculation et obliger les banques à revenir à leur rôle fondamental de financement de l’économie productive. La marge de manœuvre des agences de notation doit être considérablement diminuée, notamment par l’interdiction de notation de pays faisant l’objet d’une aide internationale.

mardi 20 décembre 2011

vendredi 16 décembre 2011

S&P : triple C... ?

Diffusion aux adhérents CFDT d'une information sur la situation du Groupe au 16 décembre 2011 (communiqué de S&P, communiqué de Groupama en réponse à l'abaissement de la note de Groupama par l'agence de notation S&P, synthèse de l'intervention de T.Martel et C. Collin devant une partie des cadres de Groupama SA le 10/12).

Comptes de la CFDT : toutes les fédérations de la CFDT ont fait certifier et publier leurs comptes

Comme la loi de 2008 le prévoit, les quinze fédérations professionnelles de la CFDT se sont conformées à l’obligation de publier leurs comptes au Journal Officiel.
Elles couvrent les secteurs suivants : banques et assurances, chimie et énergie, arsenaux de l'État, formation et enseignement privés, transports-équipements, agroalimentaire, mines et métallurgie, finances et affaires économiques, construction-bois, communication conseil culture, Interco, protection sociale, santé et services sociaux, services et Éducation nationale.
L’ensemble des comptes de la confédération et des fédérations ont été certifiés sans réserve par des commissaires aux comptes, qui sont des auxiliaires de justice. Ces comptes sont disponibles sur le site du Journal Officiel.
Il s’agit du meilleur démenti que la CFDT puisse opposer face aux attaques et allégations sans fondement sur la transparence de ses comptes.
Comme le prévoit la loi, les vingt-deux unions régionales interprofessionnelles de la CFDT publieront leurs comptes certifiés au cours de l’année 2012.

jeudi 15 décembre 2011

S&P abaisse la note de Groupama à BBB-

Paris (source : les Echos - 15/12/11). La note à long terme n'est plus qu'à un cran de la catégorie spéculative.

Standard & Poor's a mis sa menace à exécution. L'agence de notation vient de dégrader une nouvelle fois la note à long terme de Groupama, moins d'une semaine après l'avoir placée sous surveillance négative. Après avoir envisagé de l'abaisser de deux crans, S&P l'a finalement fait passer de « BBB » à « BBB- », soit juste au-dessus de la catégorie spéculative. La note de Groupama GAN Vie, qui rassemble les activités d'assurance-vie, bascule, elle, en catégorie spéculative, passant de « BBB » à « BB+ », soit un cran en-dessous de la note de la maison mère. Ces nouvelles notes restent sous surveillance avec implication négative.
S&P justifie sa décision en estimant que les fonds propres et la solvabilité de Groupama sont, selon lui, « à de faibles niveaux » dans le contexte actuel de marchés financiers, « en dépit des actions stratégiques que la compagnie a annoncées ». L'assureur a signé mardi 13 décembre un protocole d'accord avec la Caisse des Dépôts et Consignations(CDC), portant sur la foncière cotée Silic et sur GAN Eurocourtage.
La CDC reprendra les 44 % détenus par Groupama dans Silic et injectera 300 millions d'euros dans la filiale GAN Eurocourtage, contre des actions de préférence. Cette double opération devrait permettre de faire gagner 18 à 19 points de marge de solvabilité à Groupama. « Même si les bénéfices de cette transaction sont entièrement répercutés dans la marge de solvabilité à fin 2011 », l'agence maintient la note sous surveillance, au vu des risques d'exécution « liées aux actions stratégiques restantes que le management pourrait prendre pour restaurer les ratios réglementaires de solvabilité ». Elle pourra abaisser ou confirmer la note selon que Groupama exécute avec succès ou non ces actions. Réponse dans les 90 jours.
Dimanche dernier, Thierry Martel, le nouveau directeur général de l'assureur mutualiste, avait vivement réagi à la mise sous surveillance négative par S&P. « Ce process est incompréhensible. Les circonstances de cette décision nous intriguent », avait-il déclaré au « JDD », accusant les agences de notation de « tyranniser les entreprises ». Fin septembre, Standard & Poor's avait abaissé la note de Groupama de « BBB + » à « BBB »-imité quelques jours plus tard par Fitch.
Les dirigeants de Groupama avaient affirmé lors d'un comité central d'entreprise qui s'est tenu jeudi 7 décembre que le groupe passerait le cap de l'année 2011 au regard des exigences du régulateur, suite à différentes ventes d'actifs financiers ces dernières semaines. L'assureur a notamment réalisé 400 millions d'euros de plus-values sur la vente d'OAT.
Vendredi dernier, S&P avait également placé 15 autres grands assureurs européens sous surveillance avec implication négative, dont les français AXA et CNP Assurances, l'allemand Allianz, le britannique Aviva et l'italien Generali.

Rapport Perruchot : heureusement que le ridicule ne tue pas.

La CFDT, la CGT, la CFE-CGC et le Medef demandent la publication du rapport de la commission d’enquête sur le financement des partenaires sociaux. Le président de l’Assemblée nationale, Bernard Ac-coyer, refuse ! En revanche, il propose de débattre publiquement de celui-ci devant la commission des Affaires sociales.
Des députés qui ont voté contre un rapport mais qui veulent le publier, d’autres qui se sont abstenus et qui le refusent, d’autres encore qui ont voté pour et qui le commentent publiquement en toute illégalité… La décision du chef des députés de proposer un débat sur un document qui officiellement n’existe pas, en rajoute au trouble.
Face à ces comportements, comment ne pas s’interroger sur les raisons de la non-publication de ce rapport, alors que les partenaires sociaux se sont largement prononcés pour ?
La CFDT réaffirme qu’elle est prête à venir s’expliquer publiquement devant la commission des Affaires sociales… rapport à l’appui ! Depuis des années, elle publie ses comptes et les fait certifier. Elle ne peut accepter que l’on jette ainsi le doute sur son fonctionnement.
Alors que la commission a expressément exigé le secret de la part des personnes auditées, la presse publie les commentaires de membres de la commission d’enquête parlementaire.
La CFDT confirme qu’elle va porter plainte contre les personnes qui ont diffusé le document. Elle la retirera s’il venait enfin à être rendu public.
La CFDT va aussi demander à rencontrer le groupe du Nouveau centre à l’Assemblée nationale afin de discuter du projet de loi sur le financement des partenaires sociaux.

mardi 13 décembre 2011

NAO 2012 à Groupama Nord-Est

Diffusion aux adhérents du compte rendu CFDT de la négociation salaires 2012 à Groupama Nord-Est (13 décembre 2012). Consultation des adhérents CFDT : réponse à retourner avant le mardi 20 décembre.

lundi 12 décembre 2011

Ils ont investi dans un fonds "Madoff" !

Liliane Bettencourt, Sénat, Comité olympique... "La Tribune" (11/12/11) s'est procuré la liste des organismes, sociétés financières et holdings qui ont investi dans le fonds "Luxalpha", une sicav de droit luxembourgeois "madoffée". Ainsi que les montants confiés... (...)
Dans cette liste figure : Agrica Epargne pour 30,35 millions d'euros, Groupama Centre Atlantique pour 11,16 millions d'euros, La Mondiale pour 32,86 millions d'euros, la Macif pour 27,81 millions d'euros, etc ...

la citation du jour : "Il paraît que la crise rend les riches plus riches et les pauvres plus pauvres. Je ne vois pas en quoi c'est une crise. Depuis que je suis petit, c'est comme ça.". Coluche - 1944-1986 - Extrait du sketch "Le chômeur"

dimanche 11 décembre 2011

Standard & Poor's, Fitch, Moody's : triple ... quoi ?

Paris le 9/12/12 (source : les Echos). S&P met le « BBB » de Groupama sous surveillance négative

L'agence de notation envisage d'abaisser la note de Groupama jusqu'à deux crans. Un scénario qui ferait basculer la notation à BB+, en catégorie spéculative.
Standard & Poor's a annoncé vendredi 8 décembre qu'elle plaçait sous surveillance négative la notation de Groupama à long terme, actuellement crédité d'un « BBB ». S&P espère pouvoir se prononcer la semaine prochaine sur une évolution de la note, qu'elle envisage d'abaisser jusqu'à deux crans. Un tel scénario ferait alors basculer la notation à BB+, c'est-à-dire en catégorie spéculative.
S&P pourrait prendre une telle mesure si elle avait l'impression que les négociations entre Groupama et la Caisse des Dépôts et Consignations sur unereprise des 44 % détenus par l'assureur dans la foncière cotée Silic ne pourraient se finaliser à court terme. L'agence précise par ailleurs évaluer les conséquences du plan stratégique élaboré par la direction pour redresser les finances du groupe.
La nouvelle équipe de direction générale de Groupama a affirmé lors d'un comité centrale d'entreprise qui s'est tenu jeudi 7 décembre que le groupe passerait le cap de l'année 2011 au regard des exigences du régulateur, suite à différentes ventes d'actifs financiers. Le groupe mutualiste a notamment réalisé dernièrement des plus-values en cédant des obligations d'entreprise et des biens immobiliers. Il a également préférer vendre des actions à perte, plutôt que d'avoir à passer des provisions pour dépréciation durable dans ses comptes annuels, comme l'a indiqué un élu aux « Echos ». Groupama SA s'est également donné un peu d'air avec l'augmentation de capital de 500 millions d'euros apportée par les caisses régionales, qui se fera finalement dès 2011 alors qu'elle était initialement prévue pour le premier semestre 2012.
Fin septembre, Standard & Poor's avait déjà abaissé la note de Groupama-de « BBB + » à « BBB »- imité quelques jours plus tard par Fitch, qui a dégradé la note de solidité financière de « A- » à « BBB ».

Paris le 9/12/12 (source : la Tribune). Plusieurs assureurs placés sous surveillance négative, Groupama pourrait basculer en "junk bond"
S&P envisage d'abaisser la note de l'assureur jusqu'à deux crans. L'agence place également sous surveillance négative Allianz, Aviva, Axa, Generali, CNP Assurances...
L'agence d'évaluation financière Standard and Poor's (S&P) envisage d'abaisser jusqu'à deux crans la note de l'assureur mutualiste Groupama SA, s'inquiétant de l'affaiblissement de sa situation financière, selon un communiqué publié vendredi.
Un abaissement de deux crans, de "BBB" actuellement à "BB+", ferait basculer Groupama dans la catégorie dite spéculative, qu'évitent certains investisseurs. S&P prévoit de se déterminer quant à l'évolution de la note de l'assureur dès la semaine prochaine, selon le communiqué.
L'agence craint que "la situation financière et le niveau de solvabilité réglementaire ne soient davantage affaiblis dans un contexte de marché très difficile, au point qu'ils ne soient plus compatibles avec une note BBB".
S&P mentionne notamment l'effacement de 50% de la valeur des obligations d'Etat grecques et les provisions liées aux participations de Groupama dans des institutions financières, comme Société Générale (dont l'assureur détient 4,25% du capital).
L'agence indique évaluer actuellement les conséquences du plan stratégique élaboré par la direction pour redresser les finances du groupe.
S&P s'intéresse en particulier à l'issue des négociations en cours avec la Caisse des dépôts concernant la cession de la participation de Groupama dans la foncière Silic (44%).
Si l'agence venait à considérer que ces négociations ne trouveront pas de conclusion à court terme, elle pourrait abaisser la note de Groupama de deux crans.
L'affaiblissement de la situation financière de Groupama depuis l'été a entraîné la révocation du directeur général Jean Azéma fin octobre.
Groupama solvable au 31 décembre
L'assureur mutualiste Groupama a assuré les représentants du personnel de sa solvabilité au 31 décembre, date de clôture des comptes, a indiqué vendredi une source proche du dossier.
Contacté, Groupama n'a pas souhaité commenter.
Cette information confirme celle publiée par L'Argus de l'assurance, selon qui l'équipe dirigeante a indiqué aux syndicats jeudi lors d'un comité central d'entreprise que le groupe "passerait le cap de l'année 2011", c'est-à-dire que sa marge de solvabilité (niveau de solvabilité par rapport à celui requis par le régulateur) serait supérieure à 100%.
L'agence d'évaluation financière Standard and Poor's (S&P) a annoncé vendredi qu'elle envisageait d'abaisser jusqu'à deux crans la note de l'assureur, s'inquiétant de l'affaiblissement de sa situation financière.
Un abaissement de deux crans, de "BBB" actuellement à "BB+", ferait basculer Groupama dans la catégorie dite spéculative, qu'évitent certains investisseurs. S&P prévoit de se déterminer quant à l'évolution de la note de l'assureur dès la semaine prochaine, selon un communiqué.$
Autres assureurs dans le collimateur
Par ailleurs, Standard & Poor's annonce ce soir placer sous surveillance avec implication négative plusieurs assureurs européens, décision qui fait suite à celle de placer 15 des 17 pays de la zone euro également sous surveillance négative.
"En fonction du résultat de notre examen des notes des pays membres de la zone euro, les notes à long terme de ces assureurs pourraient être abaissées d'un ou deux crans et les notes à court terme de certains d'entre eux pourraient être abaissées d'un cran", explique S&P.
Parmi les assureurs concernés : Allianz (Euler Hermes inclus), Aviva, Axa, Generali, Caisse Centrale de Réassurance, et CNP Assurances.

vendredi 9 décembre 2011

CCE UES Groupama, Opca, Groupama Loire Bretagne ...

Diffusion aux adhérents CFDT de la déclaration CFDT au CCE de l'UES de Groupama-Gan du jeudi 8 décembre, d'un point sur l'évolution du GDFPE et de l'AGECIF CAMA (Opca), d'une information sur le gel de la migration informatique de Groupama Loire Bretagne et de ses systèmes d'information et de l'arrêt la fusion du GIE Cibama avec G2S.

jeudi 8 décembre 2011

CCE UES Groupama / Gan (8 décembre)

Paris (source : l'Argus de l'assurance) - La direction de Groupama a indiqué aux syndicats lors du comité central d'entreprise qui s'est tenu le jeudi 8 décembre, que le groupe passerait le cap de la clôture des comptes de l'année 2011 au regard de l'ACP (Autorité de contrôle prudentiel).

Voilà de quoi rassurer les syndicats ! Lors du comité central d’entreprise (CCE) qui s’est tenu dans la matinée du 8 décembre, l’équipe dirigeante de Groupama a indiqué aux syndicats que le groupe passerait le cap de l’année 2011. Implicitement, même si les dirigeants Thierry Martel, directeur général et Christian Collin, directeur général délégué, ne l'ont pas formulé directement, la marge de solvabilité de l'assureur vert se situera donc au dessus des 100%, grâce notamment à plusieurs cessions d'actifs financiers et immobiliers déjà réalisées. « Même si certaines de ces cessions ont entrainé des moins values-latentes, le choix de Groupama a été d’éviter d’avoir à trop provisionner », indique un élu. Par ailleurs, la direction a notamment validé les discussions actuelles concernant le rachat des 44% dans la foncière Silic par la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) et la prise de participation de cette dernière au capital de Gan Eurocourtage via "un échange de titres".

lettre de mission

Concernant l’éventuelle cession d’actifs industriels et de filiales comme Gan assurances, la feuille de route pour 2012 n’est pas arrêtée. « La direction souhaite dans le mesure du possible éviter de se séparer de filiales et préserver l’indépendance mais aussi le « moteur industriel » du groupe », explique Martial Le Pennec, délégué central CFDT de l’UES Groupama/Gan. Par ailleurs, La direction a pris connaissance de la lettre de mission du cabinet Secafi Alpha dont les conditions d’accès aux différents dossiers et les échanges avec un certain nombre de dirigeants de Groupama vont être rapidement définis. Les premières conclusions (fonds propres, marge de solvabilité, éléments de contexte financier) seront présentées lors du prochain CCE qui se tiendra le 22 décembre prochain.

Lettre du secrétaire du Comité de groupe au directeur général du groupe Groupama / Gan

Draguignan,
Le 7 décembre 2011

Monsieur le Directeur Général,

Suite au communiqué de presse du 04/12/2011 et des différents articles parus ces derniers jours, il semblerait que nous nous apprêtions à céder nos actifs dans la SILIC, au profit de la Caisse des Dépôts.
Ce qui n’était pas à l’ordre du jour lors du Comité de Groupe extraordinaire du 23 novembre dernier. De plus, celle-ci pourrait prendre une participation financière dans Groupama Euro-courtage.
Comme nous l’avions évoqué avec votre prédécesseur lors de la réunion du mois d’octobre, les élus souhaitent la tenue d’une réunion extraordinaire du Comité de Groupe courant janvier, afin de connaître les modalités de cette opération, si elle se réalise, ses conséquences pour le Groupe et les rations de solvabilité et de fonds propres au 31/12/2011.
Vous-même vous vous êtes engagé à informer régulièrement les instances représentatives du personnel, en fonction des décisions prises engageant l’avenir du Groupe.
Je vous en remercie par avance, et vous prie d’agréer, Monsieur le Directeur Général, l’assurance de mes salutations les plus distinguées.

J-D S
Secrétaire du Comité de Groupe

mardi 6 décembre 2011

CNN ... pas AAA !

Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu CFDT de la commission nationale de négociation Groupama à Paris (mardi 6 décembre)

lundi 5 décembre 2011

Dans la presse ...

L'État prend en main le sauvetage de Groupama (La Tribune - 04/12/2011 | 22:33 |Pascale Besses-Boumard)

La Caisse des dépôts, appelée en renfort, s'apprête à racheter la participation de l'assureur dans la foncière Silic, et à acquérir pour 300 millions d'euros des titres de préférence dans Gan Eurocourtage. Tir groupé qui a mis hors jeu tous les autres prétendants pour reprendre Silic.
Devant l'urgence à réagir, l'État a décidé de passer à l'action. Pour renflouer, d'ici au 31 décembre, le ratio de solvabilité de l'assureur Groupama qui s'est nettement érodé ces derniers mois en raison de son exposition à la dette souveraine mais aussi de la chute de ses placements financiers, il n'y avait, certes, pas trente-six solutions. Du coup, le bras financier de l'État, à savoir la Caisse des dépôts est à la manoeuvre. Selon le schéma dévoilé samedi par « Le Figaro », l'apport de fonds propres proviendrait d'une double opération.
D'abord du rachat de la particpation de Groupama dans Silic, comme nous l'évoquions déjà dans nos précédentes éditions, et ce, via la foncière de la CDC, Icade. Ensuite de l'acquisition pour 300 millions d'euros d'actions de préférence de la filiale Gan Eurocourtage. Projets qui restent encore soumis au vote des différentes instances décisionnelles et dont les contours ne sont pas précisément définis.
Cela étant, ce schéma décidé en plus haut lieu est intelligent. D'abord, il permet à Groupama de passer avec succès le premier examen de l'ACP (l'Autorité de contrôle prudentiel) du 31 décembre, lui laissant tout loisir de s'atteler, ultérieurement, à la vente de ses actifs stratégiques. En cédant Silic et une partie de Gan Eurocourtage, l'assureur se donne également les moyens de récupérer des fonds conséquents, ces deux entités étant considérées par les professionnels comme de véritables pépites. La cession des 44 % dans Silic est, enfin, largement plébisicitée par les syndicats de Groupama, cette opération étant indolore socialement. Reste à connaître les modalités de ce « deal ». On devrait en savoir plus d'ici à la fin de la semaine, un comité d'entreprise extraordinaire de Groupama étant prévu ce jeudi.
La puissance de feu de la Caisse des dépôts n'est plus à démontrer. Et elle vient, ici, à point nommé. Au grand dam, sans doute, des candidats à la reprise de Silic qui auraient bien « croqué » cette foncière dotée de très beaux actifs immobiliers et très bien placée dans le projet du « Grand Paris ». Mais ils avaient en face d'eux un groupe étatique capable de mobiliser plusieurs centaines de millions d'euros en l'espace de quinze jours et surtout de proposer une offre globale intégrant le rachat d'autres actifs de l'assureur en mal de fonds propres.
Situation qui n'est pas pour déplaire à Serge Grzybowski, le patron d'Icade qui met, ici, la main sur une entité dotée de 3,5 milliards d'euros d'actifs parfaitement complémentaires avec les siens. Et lui permettra d'accélérer son projet stratégique de créer la première foncière française. Et ce, après avoir vendu en 2009 son parc de logements et son pôle d'administration de biens. L'an passé, il a acquis la Compagnie La Lucette auprès de Morgan Stanley, soit un portefeuille d'actifs de 1,6 milliard d'euros totalisant une surface de 675.000 m2. À fin 2010, le patrimoine d'Icade était évalué en valeur de marché à 6,1 milliards d'euros.
Reste maintenant à voir comment Groupama entend poursuivre sa politique de rééquilibre de ses fonds propres dans un contexte réglementaire toujours plus exigent. L'assureur compte d'autres participations financières cotées en Bourse. Mais contrairement à Silic, la vente de ce portefeuille dégagerait, aujourd'hui de lourdes moins-values. Cette option n'est sans doute pas envisagée dans l'immédiat. Il y a aussi l'opportunité de sabrer dans le portefeuille d'actifs immobiliers détenus en direct par le groupe de Thierry Martel. Mais là encore, cette solution ne peut être envisagée dans la précipitation. Sans parler de la cession de Gan Assurances, évoquée ces dernières semaines mais qui ne semble pas avancer.
Le contours de l'assureur s'apprête, en tout cas, à être profondément redessiné.

La Caisse des dépôts sauve Groupama (Les Échos - 04/12 | 10:27 | mis à jour à 12:12 | Ninon Renaud)

La Caisse des dépôts va racheter à Groupama sa foncière Silic et acquérir près de 300 millions d'euros d'actions de préférence de Gan Eurocourtage. Ces deux opérations doivent donner assez d'oxygène au groupe mutualiste pour lui permettre de ne pas brader les actifs stratégiques qu'il doit vendre.
Groupama peut souffler. Le groupe d'assurance mutualiste n'aura pas à brader ses actifs stratégiques pour regonfler d'ici la fin de l'année ses ratios de solvabilité, mis à mal par le poids de la dette souveraine dans ses comptes. La Caisse des dépôts (CDC) va en effet lui apporter assez de fonds propres pour qu'il puisse satisfaire aux exigences de l'Autorité de contrôle prudentiel (ACP). Selon une source proche du dossier, confirmant les informations du Figaro, ce sauvetage comprend deux volets : la reprise de Silic, la foncière spécialisée dans les bureaux détenue à 44 % par Groupama, par celle de la Caisse des dépôts, Icade, d'une part. D'autre part, l'institution financière de la rue de Lille va acquérir sur ses fonds propres près de 300 millions d'euros d'actions de préférence de Gan Eurocourtage, la filiale de Groupama dédiée au marché du courtage.

Volet foncier
Le volet foncier, qui satisfait les ambitions de croissance d'Icade, semble le naturel. Il a été particulièrement poussé par l'exécutif. Xavier Muscat, secrétaire général de l'Elysée, et Ramon Fernandez, le directeur général du Trésor, ont en effet participé aux négociations qui se sont déroulées ces quinze derniers jours avec Thierry Martel, le nouveau patron de Groupama et Antoine Gosset Grainville, directeur général adjoint de la CDC, sous la houlette de René Ricol chargé de mettre du liant entre les négociateurs. Silic est très complémentaire d'Icade, la première étant très présente aux environs d'Orly et de Roissy alors que la seconde a 80 hectares de terrains entre Saint-Denis et Aubervilliers. Ensemble, elles créent un acteur important capable de tirer avantage des projets du Grand Paris voulu par Nicolas Sarkozy. La cession de cet actif non stratégique pour Groupama va en outre lui permettre d'inscrire une plus-value dans ses comptes.

Un rendement à deux chiffres
En contre-partie de l'acquisition de Silic par sa filiale à 56 %, Icade, la Caisse des dépôts va en parallèle acquérir 300 millions d'euros environ d'actions de préférence au sein de Gan Eurocourtage. L'opération doit permettre à Groupama de récupérer assez de fonds propres pour redresser sa marge solvabilité d'ici la fin de l'année au-dessus de 100 %, comme l'exige l'ACP. La CDC n'aurait pas de droit de vote mais Gan Eurocourtage étant une société profitable, l'institution financière compte sr un rendement à deux chiffres de son investissement.

Les grands termes de ce montage doivent encore être validés par les deux groupes mais tout porte à croire que l'ACP, qui doit les examiner le 20 décembre, sera satisfaite. Son vice-président, Jean-Philippe Thierry a en effet participé à l'élaboration du schéma de sauvetage de Groupama par la Caisse des dépôts. Le groupe d'assurance mutualiste aura alors un peu plus de temps pour négocier la cession d'actifs stratégiques sans les brader.

jeudi 1 décembre 2011

Libre service GNE et fusion Méd.

Diffusion aux adhérents CFDT :
- du formulaire relatif à la formule "libre service" GNE (Pee, Perco, Cesu, chèques lire/culture, abondement CET 363 euros) à retourner avant le 20 décembre 2011 au responsable ressources internes (RRI) de votre établissement,

- de l'info fusion de la CFDT Groupama Sud : un accord important vient d'être signé par la CFDT de GSUD et GAM, cet accord servira de base de négociation pour le statut futur des salariés de la nouvelle entreprise Groupama Méditérranée.

mercredi 30 novembre 2011

1 euro = 1 euro ?


Diffusion aux adhérents CFDT d'une information sur la fusion des fonds PEE PERCOi

mardi 29 novembre 2011

Groupama espère lever 1,8 milliard d'euros grâce à des cessions

LONDRES (Reuters) - Groupama veut lever quelque 1,8 milliard d'euros grâce à des cessions d'actifs, parmi lesquels une participation de 44% au capital du groupe d'immobilier Silic et le courtier d'assurance GAN Eurocourtage, a-t-on appris lundi d'une source proche du dossier.
L'assureur mutualiste français espère obtenir 800 millions d'euros avant la fin de l'année en vendant sa part dans Silic, qui fait aujourd'hui l'objet de discussions préliminaires avec plusieurs entreprises d'immobilier et d'assurances, a indiqué la source.
Groupama se penche également sur la vente de sa filiale GAN Eurocourtage, dont il attend au moins un milliard d'euros, a-t-elle ajouté.
Les assureurs français Axa et CNP Assurances ainsi que le japonais Tokio Marine pourraient faire partie des candidats au rachat du Gan, a précisé la source ainsi qu'un banquier qui conseille des assureurs européens.
Pénalisé par une exposition supérieure à la moyenne aux actions et aux obligations d'Etats de la zone euro, Groupama est le premier grand assureur européen à faire état de problèmes de solvabilité liées à la crise de la dette souveraine.
Le groupe français espère parvenir à un accord rapidement en ce qui concerne Silic, dont la capitalisation boursière est de 1,18 milliard d'euros et qui gère essentiellement des actifs immobiliers près des aéroports parisiens d'Orly et de Roissy-Charles de Gaulle, ainsi que dans le quartier d'affaires de La Défense.
Une telle cession d'une participation minoritaire serait plus simple à mener que celle d'une division entière, qui pourrait affecter l'emploi, a ajouté la source.
Il paraît difficile de tirer un bénéfice d'une vente d'actif en ce moment, a toutefois prévenu le banquier, surtout pour une entreprise comme Groupama, qui est financièrement sous pression.
L'assureur-mutualiste français a fait l'objet d'une attention particulière de la part du régulateur français, l'Autorité de contrôle prudentiel (ACP) alors que ses ratios de solvabilité, historiquement supérieurs à ceux de ses comparables, à près de 200%, s'effondraient à 117% cette année, a expliqué la source.
L'ancien directeur général de Groupama, Jean Azéma, avait déclaré en août que l'exposition totale nette du groupe au Portugal, à la Grèce et à l'Irlande s'élevait à 770 millions d'euros à fin juin et à 1,5 milliard pour l'Italie.
Groupama, Silic, Axa et CNP Assurances n'ont pas souhaité faire de commentaire.
Tokio Marine n'était pas disponible dans l'immédiat pour commenter.

vendredi 25 novembre 2011

Communiqué de presse des sections CFDT Gan, Groupama Gan Vie « AVENIR DU GROUPE GROUPAMA – GAN »

Depuis plusieurs semaines, le bal de la spéculation s’est ouvert quant à la prochaine chute ou non de Groupama Gan – premier employeur de l’assurance française –, quant à son démantèlement.

Cette spéculation est essentiellement née à la suite de l’éviction de Jean AZEMA qui était Directeur Général du Groupe.

Le Directeur Général du Groupe avait en charge (depuis une décennie), de mettre en œuvre avec l’exécutif qui l’entourait, la stratégie partagée, arrêtée, contrôlée par les actionnaires, par le conseil d’administration de Groupama SA.

Au regard de la situation à laquelle se trouve maintenant confronté Groupama Gan, le conseil d’administration de Groupama SA qui a été interpellé par tous les membres du comité central d’entreprise se mure dans un immense silence.
Les relances des membres du comité central d’entreprise auprès du Président du conseil d’administration n’ont pas de succès.

Retenons que Groupama vient d’être pris à revers, par rapport à certaines de ses allocations d’actifs et de leurs sensibilités,
- par la chute des marchés boursiers (avec des comportements irrationnels ces derniers temps),
- par la crise de la dette grecque et les dépréciations imposées,
- par le ralentissement des économies nationales qui, momentanément, ne permettent pas à Groupama de pleinement tirer parti de ses investissements et implantations à l’international acquises ces dernières années,

Oui, Groupama traverse une tempête.
Pour autant, Groupama Gan a toujours un cap, un équipage et de solides atouts, une course à faire malgré le gros temps et grosses vagues.

Groupama et ses filiales Gan servent toujours, chaque jour, leurs sociétaires et leurs assurés.

Groupama et ses filiales Gan sont riches :
- de leur savoir faire et de leur professionnalisme collectifs,
- de leurs réussites communes,
- de leurs potentialités associées et combinées,
- de leurs volontés au service d’ambitions et de projets encore à partager ensemble,
- de leurs huit millions de sociétaires et clients pour lesquels les entreprises sont toujours entièrement mobilisées,
- de leurs 38 000 salariés en France et à l’International, de leurs collaborateurs courtiers, agents généraux d’assurances, mandataires d’assurances,

L’oeuvre d’actions Groupama Gan doit pouvoir se poursuivre dans un destin commun, avec leurs salariés et collaborateurs, avec leurs sociétaires et clients.

A l’heure ou se préparent de grands arbitrages, de grandes décisions du côté des actionnaires Groupama, en liaison avec l’Autorité de Contrôle Prudentielle, le Ministère de la tutelle,

DONNONS A GROUPAMA GAN TOUTES SES CHANCES,

SAUVEGARDONS GROUPAMA GAN AVEC TOUTES SES RESSOURCES COLLECTIVES,

APPORTONS A GROUPAMA GAN DES APPUIS DU MOMENT DONT IL A BESOIN.

Les sections CFDT Gan, Groupama Gan Vie appellent donc à la mesure et à la raison, aux bonnes décisions prochaines, tous les actionnaires Groupama, le conseil d’administration de Groupama SA.

Les sections CFDT Gan, Groupama Gan Vie interpellent l’Autorité de Contrôle Prudentielle de l’Assurance sur toutes les conséquences des exigences qui pourraient être les siennes à l’endroit de Groupama, pour la place de l’assurance.

Les sections CFDT Gan, Groupama Gan Vie invitent déjà chaque salarié à saisir sa représentation parlementaire, son député, son sénateur, afin d’organiser des mesures d’appui du Groupe, et ce pour toujours connaître un futur commun dans un Groupe dont le moteur économique est toujours solide.

Initiatives CFDT Groupama Gan

La CFDT (les deux Fédérations concernées par Groupama (FGA) et Gan (Fédération Banque-Assurance) ont demandé un rendez vous à la FFSA et au Ministère de l'Economie et des Finances pour aborder les difficultés du Groupe et la probable cession de certaines filiales françaises (Gan) et étrangères.

Suite aux CE du Gan, les sections de la CFDT du Gan ont fait un communiqué de presse et pris une initiative afin d'interpeller les parlementaires.

Informations de l'intérieur ...

Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu CFDT du Comité de Groupe extraordinaire du 23 novembre (9 pages).

mercredi 23 novembre 2011

Pour ne pas le découvrir dans la presse !

Communiqué CFDT Groupe AXA : La CFDT signe un accord européen sur la sécurisation de l’emploi

Paris, le 23 novembre 2011. La fédération CFDT banques et assurances se félicite de la signature, ce jour, d’un accord européen sur l’anticipation du changement au sein du groupe AXA. Inédit dans le secteur financier, il concerne les 70 000 salariés européens du groupe.
Cet accord de sécurisation de l’emploi, initié par la CFDT AXA, UNI Europa Finance et les élus européens du secrétariat du Comité européen du groupe, s’inscrit dans la tradition des relations sociales du groupe AXA. Il a vocation à stabiliser, voire développer, l’emploi en tenant compte de l’évolution des métiers et de la stratégie internationale du groupe AXA.
Le secrétariat du Comité européen de groupe assurera le suivi et la dynamique de cet accord, en liaison étroite avec les représentants des salariés et les instances nationales de représentation du groupe AXA en Europe.
Conformément aux possibilités offertes par le texte, les entités du groupe structurées de façon internationale l’ont d’ores et déjà appliqué (AXA Assistance) ou sont sur le point de le faire (AXA Tech).
Cet accord démontre la vitalité des relations sociales au sein du groupe AXA. Dans la période troublée que nous traversons, ce texte confirme la volonté de la CFDT d’approfondir son approche européenne de la stratégie des entreprises et de ses conséquences sur l’emploi et les conditions de travail.

lundi 21 novembre 2011

encore un truc ... de journalistes ?

Diffusion aux adhérents CFDT d'un article du site de l'argus des assurances. (Groupama : le calendrier et les départs s’accélèrent)

vendredi 18 novembre 2011

"Salaires 2012" à Groupama Nord-Est



Un compte rendu CFDT de la négociation annuelle obligatoire sur les salaires et un questionnaire sont adressés aux adhérents pour arrêter la position CFDT ... et les éventuelles suites à donner !

CCE du 18/11/11 : déclaration des sections CFDT Gan Assurances, Gan Eurocourtage, Gan Prévoyance et Gan Patrimoine, Groupama Gan Vie, Groupama SA, G2S

Depuis l’acquisition du GAN par GROUPAMA en 1998, le nouveau groupe s’est profondément transformé.
Il a ainsi renforcé et développé ses positions d’assureur généraliste et multi-réseaux (salariés, mandataires, agents généraux, courtiers) en France.
Il a entrepris également une diversification de ses risques en renforçant ou en prenant des positions d’opérateur en Europe.
Il a conduit aussi de nombreuses transformations de ses procédures et process opérationnels, de ses organisations de travail.
Il a compté et compte encore, malgré les difficultés économiques présentes, de réels succès commerciaux, un vrai savoir faire dans ses métiers au service de ses sociétaires et clients.
Toutes les réalisations, tous les développements de nos capacités l’ont été sur ressources propres.
Les Caisses Régionales et filiales GAN, à l’occasion des évènements climatiques et atmosphériques qui ont durement touché un grand nombre de nos assurés ces dernières années, ont su faire la démonstration de leur proximité avec leurs sociétaires et clients, de leur capacité à traiter et indemniser dans les meilleurs délais les sinistres.
Les réseaux Vie, ceux des Caisses Régionales mais aussi ceux des filiales Gan Assurances, Gan Prévoyance, Gan Patrimoine, Gan Eurocourtage n’ont pas fait montre, ne font pas montre de contre-performance comparativement aux concurrents du Groupe.
« L’assureur Vie » du groupe, GROUPAMA GAN VIE depuis le 1er Janvier 2010, poursuit la consolidation de son organisation et enregistre depuis le début de l’année 2011, dans un contexte difficile, une diminution de son chiffre d’affaires sensiblement inférieur à celle du marché.
Le GIE Groupama Supports et Services (Informatique et logistique) qui preste dans ses spécialités en interne, notamment pour les Caisses Régionales et les filiales Gan et Groupama Gan Vie, continue de relever les défis, d’accompagner ces entreprises dans leurs besoins, dans les moyens à mettre en œuvre au quotidien.
C’est donc aussi avec ses filiales Gan et Groupama Gan Vie, avec son GIE informatique et logistique, avec ses directions métiers « travaillant pour compte » et logées dans Groupama SA, avec tous leurs salariés et collaborateurs, que Groupama et ses Caisses Régionales ont jusqu’à présent réussi, pourront demain réussir.
Pour les Caisses Régionales et pour Groupama SA, pour les actionnaires, le salut se trouverait maintenant semble-t-il dans un train de mesures, dans la cession en tout état de cause d’actifs industriels, de filiale(s). Laquelle, Lesquelles ? Comment ?
Quelles justifications de la part des actionnaires, du Conseil d’Administration de Groupama SA, pour un démantèlement industriel, pour un sinistre social d’ampleur ?

Auraient-ils été les victimes innocentes (ou, à l’inverse, consentantes)
- de certains des choix stratégiques du Conseil d’Administration de Groupama SA,
- d’un défaut de contrôle du Conseil d’Administration de Groupama SA dans la mise en œuvre de la stratégie, du programme de transformation industrielle du groupe durant cette décennie,
- d’agissements isolés, hors de contrôle, de la tête de l’exécutif d’alors, (d’où l’éviction du précèdent capitaine) dans des prises de participations stratégiques, d’allocations d’actifs.

Le conseil d’administration de Groupama SA, les représentants des actionnaires, continuant de se murer dans un silence, quelles sont dans la réalité des faits au regard de la situation présente, les parts de responsabilités, celles de la gouvernance, de l’exécutif d’alors ?

Quelles parts des événements que nous subissons peuvent aussi revenir à la crise de la dette souveraine grecque, à la volatilité des marchés financiers, du marché des actions, bien d’autres opérateurs de la banque et de l’assurance y étant aussi confrontés, avec plus ou moins d’amplitude ?

Après les spéculations sur la dette grecque, après les spéculations sur la dette italienne, après les spéculations sur le Triple A de la France, sur sa dégradation probable, voici venu le temps de la spéculation sur la chute éventuelle d’un acteur majeur de l’assurance en France, Groupama - premier employeur de l’assurance en France - .
Ne sommes nous pas, de ce fait, dans un risque systémique ?
Si le moteur économique de GROUPAMA est très solide comme vient de le redire Thierry MARTEL, le Directeur Général,
- une atteinte de l’outil industriel,
- un démantèlement du groupe par le biais de cessions de filiales Gan, Groupama Gan Vie, ou d’activités,
- une casse sociale qui viendrait percuter les salariés des filiales Gan et Groupama Gan Vie, du GIE Groupama Supports et Services, de Groupama SA
ne peuvent pas être de mise.
Tous les efforts consentis, toutes les contraintes subies par les salariés des filiales Gan et Groupama Gan Vie, GIE Groupama Supports et Services et Groupama SA durant ces années ne peuvent pas passer par pertes et profits ! Un risque systémique social existe aussi !
Pour toutes les raisons ci avant les sections CFDT des filiales Gan et Groupama Gan Vie, GIE Groupama Supports et Services et Groupama SA ;
- continuent d’interpeller les actionnaires, le Conseil d’Administration de Groupama SA sur le fonctionnement de la gouvernance, sur la stratégie qu’ils ont arrêtée et contrôlée ces dernières années, sur leurs décisions prochaines concernant l’avenir des filiales Gan et Groupama Gan Vie, l’avenir du Groupe,
- interpellent les organes de contrôle de la profession, du Ministère de Tutelle au regard du risque systémique pour la profession, du risque social.

jeudi 17 novembre 2011

Informer pour penser librement ...

Diffusion aux adhérents CFDT de deux nouveaux articles sur la crise à Groupama et sur la situation des salariés de Groupama Transport, ainsi qu'une information rapide sur le départ du DG de Groupama Centre Atlantique.

mercredi 16 novembre 2011

Retour vers le passé !

Salaires 2012 - la mesure unilatérale de l’UDSG :
SMF 2012 : + 2,1% et à titre conservatoire + 1% pour 2013, + 1% pour 2014.
"Augmentation" collective nationale : + 1,% pour la classe 1 à 6 avec un MAXIMUM de 200 euros/an

2011 ! ... 2012 ?...

Réunion des adhérents CFDT Groupama Nord-Est :

Lundi 21 novembre à partir de 14 h à Arras (salle du conseil)
Jeudi 24 novembre : de 14h à 16h30 à Reims (MDA / local CFDT - 4ème étage / immeuble restaurant d’entreprise)
Vendredi 25 novembre : de 14h à 16h30 à Reims (MDA / local CFDT - 4ème étage / immeuble restaurant d’entreprise)
Mardi 22 novembre : de 10h30 à 12h à Charleville (Avenue Jean Jaurès - Salle du conseil)
Lundi 28 novembre à partir de 14 heures à Lille (salle du conseil / RDC)
Mardi 29 novembre à partir de 14 heures à Troyes (salle André Clyti)
jeudi 1 décembre à partir de 10 heures à Laon (salle de réunions - RdC)
La CFDT pose un droit à absence de 4 heures (temps de réunion + trajet) pour le Pas De Calais, le Nord, l’Aube et l’Aisne.
Deux réunions sont organisées à Reims (application de l'accord relatif au droit syndical)

A l'ordre du jour :
1) Situation économique du Groupe
2) Salaires 2012 (négociations nationales et régionales)
3) Temps de travail des agences
4) Périmètres des IRP
5) Questions diverses

Où ? Quand ? Quoi ? (mise à jour 16/11/11)

Cliquer sur l'image ci-dessous pour l'agrandir :



Ce planning n'intègre pas les dates des réunions extraordinaires des CE d'établissement.

mardi 15 novembre 2011

CE européen du 10 novembre 2011 (Paris)


Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu CFDT du Comité d'Entreprise Européen du 10 novembre.

mercredi 9 novembre 2011

Le 10 et le 18 novembre à Groupama Nord-Est

Comité Central d'Entreprise : jeudi 10 novembre à Reims.
Négociation salariale 2012 à Groupama Nord-Est : vendredi 18 novembre à Reims.

Des informations rapides seront adressées aux adhérents CFDT à l'issue de ces réunions.

UES Groupama Gan : point sur le CCE du 3/11/11

Diffusion aux adhérents CFDT :
- du tract de l'intersyndicale CFDT CGC CGT suite au CCE de l'UES Groupama Gan du 3/11/11
- du tract de la CFDT de l'UES Groupama Gan

mardi 8 novembre 2011

Groupama envisage de faire appel à des investisseurs


Diffusion aux adhérents CFDT d'un article des Echos (8/11/11).

lundi 7 novembre 2011

Cerise, la grenouille et le boeuf ...

Diffusion aux adhérents CFDT
- d'un article de l'Argus des assurances (version en ligne),
- d'une synthèse du CCE de l'UES Groupama Gan du 3 novembre,
- de la déclaration de la CFDT au CE de Groupama Paris Val de Loire du 27 octobre,
- du communiqué des élus CE de Groupama Paris Val de Loire suite à la courte réunion de CE du 27/10,
- d'une déclaration de la CFDT de G2S au CE.

jeudi 3 novembre 2011

CCE à Groupama Nord-Est le 10 novembre 2011

A l'ordre du jour :

- Point d'actualité du Groupe et actualité de Groupama Nord-Est
- Point de situation sur la mise en oeuvre des projets relatifs à l'organisation commerciale (organigrammes, travaux sur la pratique managériale)
- Point sur le déploiement Apogée (bilan pôle Vie, calendrier en cours et à venir)
- Point sur le déploiement GED
- Formation à la lecture des comptes de l'entreprise à destination des élus du CCE
- Point sur les négociations en cours
- Note d'orientation "Projet Formation 2012"
- Bilan de l'accord Mobilité Groupe
- Planning des réunions 2012

mercredi 26 octobre 2011

Convertisseur Kopecks / Euros !

Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu de la CNN (salaires 2012) du 26/10/11 à Paris.

jeudi 20 octobre 2011

Réunion DRH / Syndicats à GNE (20/10/11)

Diffusion aux adhérents d'un compte rendu CFDT suite à la réunion DRH / Syndicats du 20 octobre 2011 à Reims. Thèmes abordés : temps de travail des agences, périmètre des IRP, OPC.

mercredi 19 octobre 2011

Fusion de GGE et Alsace : succès de la grève du 18 octobre à Groupama Grand Est

50% des salariés de Groupama Grand Est ont suivi le mouvement de grève du 18 octobre : 400 salariés ont ainsi manifesté devant le siège régional de Groupama à Schiltigheim, en banlieue de Strasbourg, et 250 à Dijon.
Ce conflit a bénéficié d'une bonne couverture médiatique avec des articles :
- dans la presse régionale : L'Est républicain, l'Alsace, Le Républicain lorrain, le Bien public, les dernières nouvelles d'Alsace
- dans les médias nationaux : l'Humanité, l'AFP.
et sur les antennes de France 3 et de radio bleu Alsace

Comité de groupe Groupama / Gan (12/10/11)

Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu CFDT du Comité de Groupe Groupama / Gan du 12/10 et du rapport de l'expert comptable (synthèse).

lundi 17 octobre 2011

UES Groupama / Gan (11/10/11)

Diffusion aux adhérents du compte rendu CFDT du CCE de l'UES Groupama / Gan (avec les filiales du Gan mais aussi GGvie, GSA et G2S) avec les réponses de Jean Azema (DG du groupe) aux questions CFDT des collègues de l'UES Groupama / Gan.

mercredi 12 octobre 2011

Au 6 octobre 2011 : les audiences syndicales dans le Groupe Groupama / Gan

Les audiences de chaque organisation syndicale dans le périmètre du groupe Groupama /Gan :

CFDT : 38,45%
Cgc : 19,53%
Cgt : 13,68%
Unsa : 11,28%

Fo : 9,88% (syndicat non représentatif)
Cftc : 6,00% (syndicat non représentatif)

L'audience de la CFDT dans le périmètre Groupama (ANG) :

Groupama Alpes Méditerranée : 32,88%
Groupama Centre Atlantique : 16,02%
Groupama Centre Manche : 50,69%
Groupama Grand Est : 34,59%
Groupama Loire Bretagne : 56,27%
Groupama Nord-Est : 63,55%
Groupama Oc : 59,58%
Groupama Océan Indien : 10,27%
Groupama Paris Val de Loire : 40,13%
Groupama Rhône Alpes : 32,72%
Groupama Sud : 29,61%
Groupama SA : 32,34%

Grève à Groupama Grand Est : mardi 18 octobre

cliquer sur l'image ci-dessous pour l'agrandir :

mercredi 5 octobre 2011

la CFDT et la crise économique et financière.

Diffusion aux adhérents CFDT d'un document de la CFDT Banques & Assurances et FGA-CFDT : « La crise en questions ». Ce document fait le point sur la crise économique et financière et propose quelques pistes d’actions pour éviter une aggravation de la situation. Il complète l’argumentaire confédéral également joint à ce message.

jeudi 29 septembre 2011

La stratégie Groupama : on en cause ... sur le web.

Diffusion aux adhérents CFDT d'un article de l'Expension.com relatif à l'actualité du Groupe.

CNN Groupama : vendredi 7 octobre (salaires 2012)

La première réunion de la commission nationale de négociation (CNN) relative aux salaires 2012 se tiendra vendredi 7 octobre. Diffusion d'un compte rendu aux adhérents CFDT à l'issue de la CNN.
La négociation salariale régionale à Groupama Nord-Est se tiendra à Reims le 18 novembre (cette date reste à confirmer).

mardi 27 septembre 2011

Chez ces gens là ?


Diffusion aux adhérents CFDT d'un article intitulé "manoeuvres en coulisses à l'Elysée - vers de vraies-fausses nationalisations" (source : site internet Médiapart).

mardi 20 septembre 2011

Réunion DRH / Syndicats GNE : mardi 27 septembre 2011

A l'ordre du jour :
- Projet d'accord sur l'organisation de la gestion du temps de travail en agences commerciales
- Avenant national du 8 juillet 2011 sur le Perco et projet d'avenant à l'accord d'entreprise sur le compte épargne temps
- Questions diverses
Compte rendu flash CFDT adressé aux adhérents CFDT à l'issue de la réunion.

mercredi 14 septembre 2011

CCE Groupama Nord-Est : jeudi 15 septembre 2011.

A l'ordre du jour :
- Actualités du groupe et de l'entreprise : compte rendu du séminaire CDG, baromètre mensuel.
- Avis du CCE sur les rapports annuels 2010 suivants : bilan social, rapport égalité professionnelle F / H, rapport sur l'emploi, bilan formation professionnelle.
- Point de situation sur la mise en oeuvre des projets relatifs à l'organisation commerciale.
- Valorisation des critères de performance de l'accord d'intéressement 2011-2012-2013.
- Information sur le projet "filinfo".
- Avenant national du 8 juillet 2011 sur le Perco.
- Questions diverses.
Une information sera diffusée aux adhérents CFDT, à l'issue de cette réunion.

mardi 13 septembre 2011

Médecine du travail : analyse CFDT.

Diffusion aux élus CFDT des CHSCT (et aux adhérents CFDT pour information) de l'analyse CFDT de la loi réformant la médecine du travail.
Diffusion à tous les adhérents du communiqué CFDT : plan de rigueur, la CFDT formule ses propositions au ministre du Travail

vendredi 2 septembre 2011

AAA ou oh ! oh ! oh !

Diffusion aux adhérents CFDT, fin août :
- d'un article sur la notation par l'agence Fitch
- du courrier adressé à Jean Azema (directeur général Groupe) par Jean-Daniel Santoni (CFDT Groupama Alpes-Méditerranée) secrétaire du Comité de Groupe (Groupama / Gan).

mardi 12 juillet 2011

Gan Assurances veut fermer plusieurs centres de gestion

Lien vers article de l'Argus de l'assurance : http://www.argusdelassurance.com/a-la-une/gan-assurances-veut-fermer-plusieurs-centres-de-gestion.50776

lundi 11 juillet 2011

CNN du 29 juin

Diffusion aux adhérent(e)s CFDT du compte rendu de la Commission Nationale de Négociation Groupama du 29 juin.

vendredi 1 juillet 2011

Fusions Groupama : été chaud ... automne ?

Diffusion aux adhérents CFDT d'une information relative aux mouvements de grève dans le cadre des fusions Groupama Sud / Alpes Mediterranée et Groupama Grand Est / Alsace.

jeudi 30 juin 2011

Permanences CFDT à Groupama Nord-Est

Permanences syndicales (Ouvertes à tous) - 2ème semestre 2011.

1) Local régional CFDT Groupama Nord-Est (03.26.82.47.67) à la Maison des agriculteurs / 4ème étage / immeuble restaurant d’entreprise.

De 11h30 à 12h30 :
- jeudi 8 septembre,
- jeudi 13 octobre,
- jeudi 17 novembre,
- jeudi 8 décembre


2) Local syndical Groupama Marne-Ardennes à Reims (esplanade Roland Garros)

De 11h30 à 12h45 :
- vendredi 9 septembre,
- vendredi 14 octobre,
- jeudi 24 novembre,
- vendredi 9 décembre

Pour un rendez-vous (hors jours des permanences), adresser un mail à : cfdt.gne@gmail.com

OEMA : baromètre prospectif 2011

Diffusion aux adhérents CFDT de la synthèse du baromètre prospectif de l’emploi dans l’assurance de l'observatoire de l'évolution des métiers de l'assurance qui a fait l’objet d’une présentation publique le 28 juin

mardi 28 juin 2011

Grève à Groupama Grand Est (28 juin)

Vous pouvez consulter ce lien sur le site de l'Argus de l'assurance :
http://www.argusdelassurance.com/a-la-une/groupama-grand-est-appel-a-la-greve-sur-les-conditions-de-travail.50516

lundi 27 juin 2011

Vers un OPCA commun Banque / Assurance.

A la suite de diverses initiatives de la Fédération CFDT Banques / assurances(constitution d'une intersyndicale fédérale CFDT/ CGT/ CGC/ CFTC, argumentaires développés en réunions paritaires et bilatérales, communiqués de presse, saisine directe des exécutifs patronaux...), la voie est désormais ouverte pour la constitution d'un OPCA commun banque/ assurance. Le bureau de la FFSA a revu sa position.
Un projet d'accord a été présenté et débattu lors d'une paritaire banque réunie le 17 juin et d'une paritaire assurance réunie le 20 juin. Un tour de table a été effectué pour se prononcer sur le nouveau périmètre envisagé.
Du côté syndical bien entendu accord de principe CFDT/ CGT/ CGC/ CFTC qui ont exprimé leur satisfaction d'avoir été entendues. FO n'a pas compris le "revirement" des patrons et y voit une "intervention politique" !
Du côté patronal, accord de principe FFSA, GEMA, SNSA (assistance).
En attente de décision : CSCA (courtage), qui va probablement aller vers AGEFOS-PME, et AGEA (agences) qui décidera le 29 juin lors de son instance nationale et dont la CFDT Banques / assurances souhaite la présence en soutenant sa demande d'une meilleure proximité de services dans les régions.
Une paritaire commune aura lieu le 4 juillet prochain pour finaliser l'accord et son périmètre définitif.

Un Organisme paritaire collecteur agréé (par l'État), souvent abrégé en OPCA, est une structure associative à gestion paritaire qui collecte les contributions financières des entreprises qui relèvent de son champ d'application dans le cadre du financement de la formation professionnelle continue des salariés des entreprises de droit privé.

Réunion DRH / syndicats à GNE (28 juin 2011)

A l'ordre du jour :
- Approbation du compte-rendu de la réunion du 17 mai 2011
- Indicateurs de l'accord d'intéressement 2011-2012-2013
- Poursuite des réflexions sur la gestion du temps de travail en agences commerciales
- Point de situation sur le dossier "Qualité de vie au travail"
- Questions diverses
A l'issue de cette réunion, diffusion aux adhérents CFDT d'un compte rendu rapide.